Avec 19 concerts et 24 événements, dont beaucoup se dérouleront en plein air, les cinq continents veulent faire de la cité phocéenne "une destination jazz, au même titre que Vienne ou Marciac", a expliqué Jean-Claude Gaudin, maire LR de Marseille, lors d'une conférence de presse mercredi.
Sur la grande scène du parc Longchamp, le concert phare de cette édition sera donné le 24 juillet par Norah Jones, "une artiste rare, qui depuis 5 ans ne tournait plus", a insisté Hugues Kieffer, directeur délégué du festival, indiquant que les places étaient déjà "presque toutes vendues".
En provenance des États-Unis aussi, deux militants du mouvement "black lives matter": le jeune prodige Robert Glasper, qui joue sur la rencontre entre jazz et musiques urbaines et Kamasi Washington, issu des quartiers de Los Angeles, se produiront le 25 juillet.
Cette année le festival a programmé une soirée de blues: la serbe Ana Popovic, "Jimi Hendrix au féminin", comme la surnomme la presse américaine, dégainera sa guitare juste avant le duo new-yorkais de Tajmo, le 26 juillet.
L'étonnante Imany, ex-mannequin à la voix rauque, devenue populaire avec son tube "all clap your hands", se produira le 27 juillet.
Pour ouvrir le festival le 19 juillet, la Friche la Belle de mai offre sur son toit-terrasse une soirée gratuite autour du quatuor britannique Sons of Kemet, aux fortes influences caribéennes.
Autre lieu d'accueil du festival: le théâtre Sylvain, en plein air au bord de la mer, où jouera notamment la légende cubaine Roberto Fonseca le 21 juillet. Petite "pépite" en amont des festivités de juillet: deux concerts uniques d'Ahmad Jamal, les 12 et 13 juin, qui présentera en première mondiale son nouvel opus intitulé "Marseille".
Depuis sa création, le Festival des cinq continents a attiré plus de 340.000 spectateurs, dont 40.000 en 2016.
Sur la grande scène du parc Longchamp, le concert phare de cette édition sera donné le 24 juillet par Norah Jones, "une artiste rare, qui depuis 5 ans ne tournait plus", a insisté Hugues Kieffer, directeur délégué du festival, indiquant que les places étaient déjà "presque toutes vendues".
En provenance des États-Unis aussi, deux militants du mouvement "black lives matter": le jeune prodige Robert Glasper, qui joue sur la rencontre entre jazz et musiques urbaines et Kamasi Washington, issu des quartiers de Los Angeles, se produiront le 25 juillet.
Cette année le festival a programmé une soirée de blues: la serbe Ana Popovic, "Jimi Hendrix au féminin", comme la surnomme la presse américaine, dégainera sa guitare juste avant le duo new-yorkais de Tajmo, le 26 juillet.
L'étonnante Imany, ex-mannequin à la voix rauque, devenue populaire avec son tube "all clap your hands", se produira le 27 juillet.
Pour ouvrir le festival le 19 juillet, la Friche la Belle de mai offre sur son toit-terrasse une soirée gratuite autour du quatuor britannique Sons of Kemet, aux fortes influences caribéennes.
Autre lieu d'accueil du festival: le théâtre Sylvain, en plein air au bord de la mer, où jouera notamment la légende cubaine Roberto Fonseca le 21 juillet. Petite "pépite" en amont des festivités de juillet: deux concerts uniques d'Ahmad Jamal, les 12 et 13 juin, qui présentera en première mondiale son nouvel opus intitulé "Marseille".
Depuis sa création, le Festival des cinq continents a attiré plus de 340.000 spectateurs, dont 40.000 en 2016.