Ce prix, doté de 110.000 shekels (22.000 euros), a été décerné conjointement au metteur en scène et au producteur du film, respectivement Nir Bergman et Assaf Amir.
Selon le jury, il récompense une oeuvre "qui décrit en langage cinématographique de façon pénétrante le monde intérieur des jeunes et des adultes et transmet avec force le sens du temps et de l'espace".
Ce film est une adaptation de "La grammaire intérieure", un roman de l'écrivain israélien David Grossman dans lequel il évoque la mort de son fils Uri durant la seconde guerre du Liban à l'été 2006.
Le Festival a décerné au metteur en scène israélien Avishaï Sivan le prix du meilleur premier long métrage pour son film "Le vagabond", doté de 45.000 shekels (9.000 euros).
Le jury a d'autre part décerné conjointement aux producteurs Marek Rozenbaum, Itaï Tamir, Michael Rozenbaum, Sophie Dulac et Michel Zana un prix spécial pour leur long métrage "Infiltration", qui doit notamment être présenté en salles aux Etats-Unis.
Le Festival annuel du cinéma de Jérusalem, 27e du genre, a commencé le 8 juillet et s'achève samedi soir.
Selon le jury, il récompense une oeuvre "qui décrit en langage cinématographique de façon pénétrante le monde intérieur des jeunes et des adultes et transmet avec force le sens du temps et de l'espace".
Ce film est une adaptation de "La grammaire intérieure", un roman de l'écrivain israélien David Grossman dans lequel il évoque la mort de son fils Uri durant la seconde guerre du Liban à l'été 2006.
Le Festival a décerné au metteur en scène israélien Avishaï Sivan le prix du meilleur premier long métrage pour son film "Le vagabond", doté de 45.000 shekels (9.000 euros).
Le jury a d'autre part décerné conjointement aux producteurs Marek Rozenbaum, Itaï Tamir, Michael Rozenbaum, Sophie Dulac et Michel Zana un prix spécial pour leur long métrage "Infiltration", qui doit notamment être présenté en salles aux Etats-Unis.
Le Festival annuel du cinéma de Jérusalem, 27e du genre, a commencé le 8 juillet et s'achève samedi soir.