"Nous (...) avons décidé de lancer un partenariat durable avec ces pays (Egypte et Tunisie) engagés dans des transitions démocratiques", annoncent les leaders, réunis jeudi et vendredi en sommet à Deauville (nord-ouest de la France), dans ce projet de texte.
Plus largement, les chefs d'Etat et de gouvernement ont "renouvelé leur engagement à soutenir les réformes démocratiques à travers le monde et à répondre aux aspirations pour la liberté et l'emploi, en particulier des femmes et de la jeunesse".
"La démocratie demeure le meilleur chemin vers la paix, la stabilité, la prospérité, une croissance partagée et le développement", affirment-ils.
La Tunisie et l'Egypte, qui se sont débarrassées en janvier et février de dirigeants autoritaires après des semaines de contestation populaire, attendent de ce sommet des annonces concrètes pour soutenir des transitions difficiles.
Le Caire réclame entre 10 et 12 milliards de dollars d'ici mi-2012 et Tunis 25 milliard de dollars sur 5 ans.
Plus largement, les chefs d'Etat et de gouvernement ont "renouvelé leur engagement à soutenir les réformes démocratiques à travers le monde et à répondre aux aspirations pour la liberté et l'emploi, en particulier des femmes et de la jeunesse".
"La démocratie demeure le meilleur chemin vers la paix, la stabilité, la prospérité, une croissance partagée et le développement", affirment-ils.
La Tunisie et l'Egypte, qui se sont débarrassées en janvier et février de dirigeants autoritaires après des semaines de contestation populaire, attendent de ce sommet des annonces concrètes pour soutenir des transitions difficiles.
Le Caire réclame entre 10 et 12 milliards de dollars d'ici mi-2012 et Tunis 25 milliard de dollars sur 5 ans.