"Le Luxembourg poursuivra sa participation au projet même si cela signifie une contribution financière supplémentaire dont le montant est actuellement encore en négociation", a écrit M. Halsdorf dans une réponse écrite à la question d'un parlementaire sur ce sujet.
Le Luxembourg a déjà débloqué une enveloppe budgétaire de 120 millions d’euros pour acquérir un Airbus A400M en partage avec la Belgique, qui en a commandé sept autres.
Les sept pays partenaires (Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, Luxembourg et Turquie) négocient actuellement avec le constructeur aéronautique européen EADS.
Ce dernier leur demande de boucher un trou de 5,2 à 5,3 milliards d'euros de plus pour faire face à des frais supplémentaires de développement, alors que le programme, qui a pris trois ans de retard, devait coûter 20 milliards d'euros pour 180 appareils.
Les Etats se sont déjà engagés à prendre à leur charge deux milliards d'euros et EADS 800 millions d'euros.
Si les pays du consortium confirmaient un apport complémentaire d'1,5 milliard d'euros sous forme d'avance remboursable comme la France leur a suggéré, il resterait encore un milliard d'euros à trouver.
"Les discussions techniques avec EADS ont bien avancé, mais les négociations se poursuivent toujours sur les questions financières", explique Jean-Marie Halsdorf dans le document parlementaire.
Le Luxembourg a déjà débloqué une enveloppe budgétaire de 120 millions d’euros pour acquérir un Airbus A400M en partage avec la Belgique, qui en a commandé sept autres.
Les sept pays partenaires (Allemagne, France, Espagne, Royaume-Uni, Belgique, Luxembourg et Turquie) négocient actuellement avec le constructeur aéronautique européen EADS.
Ce dernier leur demande de boucher un trou de 5,2 à 5,3 milliards d'euros de plus pour faire face à des frais supplémentaires de développement, alors que le programme, qui a pris trois ans de retard, devait coûter 20 milliards d'euros pour 180 appareils.
Les Etats se sont déjà engagés à prendre à leur charge deux milliards d'euros et EADS 800 millions d'euros.
Si les pays du consortium confirmaient un apport complémentaire d'1,5 milliard d'euros sous forme d'avance remboursable comme la France leur a suggéré, il resterait encore un milliard d'euros à trouver.
"Les discussions techniques avec EADS ont bien avancé, mais les négociations se poursuivent toujours sur les questions financières", explique Jean-Marie Halsdorf dans le document parlementaire.