"Les domaines d'expertise portent sur l'agronomie, agroforesterie, apiculture, arboriculture, diversification, génie rural, halieutique, horticulture, intensification de la production végétale, maitrise de l'eau, organisations paysannes, petit élevage, pisciculture et zootechnie", a-t-il expliqué rappelant qu'en avril 2014, le gouvernement marocain et la FAO ont signé un accord général pour appuyer la CSS pour la période 2014-2020 avec l'appui du secteur privé marocain.
"A ce jour, quatre accords tripartites ont été signés entre le Maroc, la FAO et la Guinée Conakry, la Guinée Bissau, le Mali et le Swaziland'', a-t-il poursuivi, indiquant que d'autres accords sont en cours de préparation.
A ce titre, la première conférence internationale de la Coopération Sud-Sud organisée en partenariat avec la FAO a regroupé une trentaine de Ministres et de chefs de délégation de pays africains à Marrakech en 2014, a-t-il rappelé, ajoutant qu'"en confirmant sa disposition pour la mise en œuvre de la Déclaration de Marrakech adoptée lors de cette conférence, le Maroc exprime sa ferme volonté à partager son expertise avec tous les pays de la région notamment dans le domaine de la sécurité alimentaire".
M. Sadiki a, en outre, affirmé que le Maroc demeure convaincu qu'à côté des échanges nord-sud, "nous ne saurons faire face efficacement et durablement à l'insécurité alimentaire sans la promotion d'une coopération sud-sud et d'une coopération triangulaire fructueuse et mutuellement bénéfique grâce aux opportunités d'échanges et de complémentarité que nous avons dans le domaine agricole. C'est d'ailleurs en substance la teneur du discours que SM le Roi Mohammed VI avait adressé en 2008 à la Conférence de la FAO sur la sécurité alimentaire".
Par ailleurs, l'ensemble des intervenants lors de cette cérémonie collective de remise du Prix de la FAO, se sont félicités des progrès accomplis en matière de lutte contre la malnutrition et la pauvreté, soulignant que la faim demeure, toutefois, un défi pour 795 millions d'habitants de la planète, notamment pour les 780 millions de personnes sous-alimentées vivant dans les régions en développement.
Sur un total de 129 pays en développement ayant fait l'objet du suivi, 72 pays en développement ont atteint l'OMD-1, ont-ils relevé, soulignant que la plupart de ces pays ont bénéficié de conditions politiques stables et d'une bonne croissance économique et ont souvent mis en place en parallèle des politiques de protection sociale en faveur des groupes vulnérables.
A l'opposé,, ont-ils expliqué, dans les pays qui n'ont pas été en mesure d'atteindre les objectifs mondiaux de réduction de la faim, la vulnérabilité et l'insécurité alimentaire accrues d'une grande partie de la population étaient imputables à des crises prolongées induites par des catastrophes naturelles ou causées par l'Homme ou par une situation d'instabilité politique.
"Vu les progrès réalisés dans ce domaine, la faim zéro demeure un objectif réalisable et à la portée et les pays sont appelés à persévérer dans leurs efforts pour réaliser ce rêve'', ont-ils estimé.
Les objectifs du millénaire pour le développement sont huit objectifs adoptés en 2000 à New York (Etats-Unis) avec la Déclaration du millénaire de l'Organisation des Nations unies par 193 Etats membres de l'ONU, et au moins 23 organisations internationales, qui sont convenus de les atteindre pour 2015.
Il s'agit d'éradiquer la pauvreté extrême et la faim, concrétiser l'éducation primaire universelle, promouvoir l'égalité entre hommes et femmes et rendre les femmes autonomes, lutter contre la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH/Sida, le paludisme et d'autres maladies, préserver durablement l'environnement et mettre en place un partenariat durable pour le développement.
"A ce jour, quatre accords tripartites ont été signés entre le Maroc, la FAO et la Guinée Conakry, la Guinée Bissau, le Mali et le Swaziland'', a-t-il poursuivi, indiquant que d'autres accords sont en cours de préparation.
A ce titre, la première conférence internationale de la Coopération Sud-Sud organisée en partenariat avec la FAO a regroupé une trentaine de Ministres et de chefs de délégation de pays africains à Marrakech en 2014, a-t-il rappelé, ajoutant qu'"en confirmant sa disposition pour la mise en œuvre de la Déclaration de Marrakech adoptée lors de cette conférence, le Maroc exprime sa ferme volonté à partager son expertise avec tous les pays de la région notamment dans le domaine de la sécurité alimentaire".
M. Sadiki a, en outre, affirmé que le Maroc demeure convaincu qu'à côté des échanges nord-sud, "nous ne saurons faire face efficacement et durablement à l'insécurité alimentaire sans la promotion d'une coopération sud-sud et d'une coopération triangulaire fructueuse et mutuellement bénéfique grâce aux opportunités d'échanges et de complémentarité que nous avons dans le domaine agricole. C'est d'ailleurs en substance la teneur du discours que SM le Roi Mohammed VI avait adressé en 2008 à la Conférence de la FAO sur la sécurité alimentaire".
Par ailleurs, l'ensemble des intervenants lors de cette cérémonie collective de remise du Prix de la FAO, se sont félicités des progrès accomplis en matière de lutte contre la malnutrition et la pauvreté, soulignant que la faim demeure, toutefois, un défi pour 795 millions d'habitants de la planète, notamment pour les 780 millions de personnes sous-alimentées vivant dans les régions en développement.
Sur un total de 129 pays en développement ayant fait l'objet du suivi, 72 pays en développement ont atteint l'OMD-1, ont-ils relevé, soulignant que la plupart de ces pays ont bénéficié de conditions politiques stables et d'une bonne croissance économique et ont souvent mis en place en parallèle des politiques de protection sociale en faveur des groupes vulnérables.
A l'opposé,, ont-ils expliqué, dans les pays qui n'ont pas été en mesure d'atteindre les objectifs mondiaux de réduction de la faim, la vulnérabilité et l'insécurité alimentaire accrues d'une grande partie de la population étaient imputables à des crises prolongées induites par des catastrophes naturelles ou causées par l'Homme ou par une situation d'instabilité politique.
"Vu les progrès réalisés dans ce domaine, la faim zéro demeure un objectif réalisable et à la portée et les pays sont appelés à persévérer dans leurs efforts pour réaliser ce rêve'', ont-ils estimé.
Les objectifs du millénaire pour le développement sont huit objectifs adoptés en 2000 à New York (Etats-Unis) avec la Déclaration du millénaire de l'Organisation des Nations unies par 193 Etats membres de l'ONU, et au moins 23 organisations internationales, qui sont convenus de les atteindre pour 2015.
Il s'agit d'éradiquer la pauvreté extrême et la faim, concrétiser l'éducation primaire universelle, promouvoir l'égalité entre hommes et femmes et rendre les femmes autonomes, lutter contre la mortalité infantile, améliorer la santé maternelle, combattre le VIH/Sida, le paludisme et d'autres maladies, préserver durablement l'environnement et mettre en place un partenariat durable pour le développement.