Comme les deux premiers mois de son mandat, la conférence de presse de Barack Obama a été dominée par la crise économique. Le président américain ne s'est vu posé aucune question sur les deux guerres dans lesquelles les Etats-Unis continuent d'être engagés, en Irak et en Afghanistan.
Et interrogé une seule fois sur les chances de progrès dans la résolution du conflit israélo-palestinien, Barack Obama a donné une réponse très vague, avant de changer de sujet pour revenir à l'économie.
La récession est telle aux Etats-Unis que le principal créancier du gouvernement américain, a savoir le gouvernement chinois, a publiquement exprimé hier ses doutes vis-à-vis du dollar.
Le gouverneur de la banque centrale chinoise a ainsi souhaité que le dollar ne soit plus la monnaie de référence et qu'il soit remplacé par une devise gérée par le Fonds Monétaire International.
Hier soir, Barack Obama a catégoriquement rejeté l'idée proposée par la Chine. "Je ne pense qu'il y ait besoin d'une devise internationale", a declaré le président américain. "Le dollar est extraordinairement fort en ce moment parce que les investisseurs considèrent les Etats-Unis comme l'économie la plus solide et le pays le plus stable", a-t-il ajouté.
Barack Obama s'est dit confiant dans la reprise de l'économie américaine. A cet égard, il a souligné que son énorme projet de budget, qui s'élève à la somme astronomique de plus de trois mille milliards de dollars, est "inséparable de la relance".
Ce projet de budget est en difficulté au Congrès où tant la majorité démocrate que l'opposition républicaine lui reprochent d'augmenter le déficit et l'endettement de l'Etat.
Hier soir, Barack Obama a affirmé que, si les Etats-Unis ne s'engagent pas dans les dépenses que son gouvernement propose, ils ne "connaitront pas de croissance". M. Obama a par ailleurs accusé ses détracteurs de ne proposer aucune alternative pour sortir de la récession.
Et interrogé une seule fois sur les chances de progrès dans la résolution du conflit israélo-palestinien, Barack Obama a donné une réponse très vague, avant de changer de sujet pour revenir à l'économie.
La récession est telle aux Etats-Unis que le principal créancier du gouvernement américain, a savoir le gouvernement chinois, a publiquement exprimé hier ses doutes vis-à-vis du dollar.
Le gouverneur de la banque centrale chinoise a ainsi souhaité que le dollar ne soit plus la monnaie de référence et qu'il soit remplacé par une devise gérée par le Fonds Monétaire International.
Hier soir, Barack Obama a catégoriquement rejeté l'idée proposée par la Chine. "Je ne pense qu'il y ait besoin d'une devise internationale", a declaré le président américain. "Le dollar est extraordinairement fort en ce moment parce que les investisseurs considèrent les Etats-Unis comme l'économie la plus solide et le pays le plus stable", a-t-il ajouté.
Barack Obama s'est dit confiant dans la reprise de l'économie américaine. A cet égard, il a souligné que son énorme projet de budget, qui s'élève à la somme astronomique de plus de trois mille milliards de dollars, est "inséparable de la relance".
Ce projet de budget est en difficulté au Congrès où tant la majorité démocrate que l'opposition républicaine lui reprochent d'augmenter le déficit et l'endettement de l'Etat.
Hier soir, Barack Obama a affirmé que, si les Etats-Unis ne s'engagent pas dans les dépenses que son gouvernement propose, ils ne "connaitront pas de croissance". M. Obama a par ailleurs accusé ses détracteurs de ne proposer aucune alternative pour sortir de la récession.