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"Un événement unique en France", affirme le service culturel de cette commune jouxtant Strasbourg qui s'enorgueillit des 10.000 spectateurs de l'an dernier et des 90 concerts organisés cette année, dont une cinquantaine seront gratuits.
Il s'agit avant tout d'un festival populaire, mais de qualité, avec des bals et des concerts au coin du zinc. Cette année un Magic Mirror, chapiteau en bois tendu de velours rouge, accueillera sur une place des groupes comme Tournée Générale, La Mauvaise Réputation ou les Biélorusses du groupe Gurzuf.
Il y aura des petits-déjeuners tango et des ateliers où l'on pourra prendre une première leçon d'accordéon.
La Nouvelle harmonie bruxelloise d'accordéons et l'orchestre nancéien de José Pereira assureront deux grand bals.
Le 21 mars, carte blanche sera donnée à l'accordéonniste malgache Régis Gizavo, musicien de Mano Solo et de Cesaria Evora, accompagné par le Réunionnais René Lacaille et l'Argentin Raul Barboza.
Outre les Québécois du Bébert Orchestra, les Gallois de "TWM TWP" animeront un "twmpath", un bal sur des airs à danser gallois allègrement relookés, parfois coupés d’une salve de Dixieland ou d’un chorus klezmer.
La Belle équipe (accordéon, contrebasse et guitare) revisitera le répertoire cocasse et parfois grivois de Georgius, l’amuseur public des années 1920 à 1940.
Le groupe D’Lichtbéble ("les lucioles", en français) reprend de très vieilles chansons populaires en dialecte francique - le Platt - afin qu’elles ne tombent pas totalement dans l'oubli.
Giorgio Conte, le frère du chanteur italien Paolo Conte, et les frères Mouss et Hakim, des anciens du groupe Zebda, participeront à la fête avec LeOparleur, Mam, le trio Miyazaki et Jaune Toujours.
Des concerts seront également donnés dans trois villes voisines ainsi qu'à Offenbourg en Allemagne.
Il s'agit avant tout d'un festival populaire, mais de qualité, avec des bals et des concerts au coin du zinc. Cette année un Magic Mirror, chapiteau en bois tendu de velours rouge, accueillera sur une place des groupes comme Tournée Générale, La Mauvaise Réputation ou les Biélorusses du groupe Gurzuf.
Il y aura des petits-déjeuners tango et des ateliers où l'on pourra prendre une première leçon d'accordéon.
La Nouvelle harmonie bruxelloise d'accordéons et l'orchestre nancéien de José Pereira assureront deux grand bals.
Le 21 mars, carte blanche sera donnée à l'accordéonniste malgache Régis Gizavo, musicien de Mano Solo et de Cesaria Evora, accompagné par le Réunionnais René Lacaille et l'Argentin Raul Barboza.
Outre les Québécois du Bébert Orchestra, les Gallois de "TWM TWP" animeront un "twmpath", un bal sur des airs à danser gallois allègrement relookés, parfois coupés d’une salve de Dixieland ou d’un chorus klezmer.
La Belle équipe (accordéon, contrebasse et guitare) revisitera le répertoire cocasse et parfois grivois de Georgius, l’amuseur public des années 1920 à 1940.
Le groupe D’Lichtbéble ("les lucioles", en français) reprend de très vieilles chansons populaires en dialecte francique - le Platt - afin qu’elles ne tombent pas totalement dans l'oubli.
Giorgio Conte, le frère du chanteur italien Paolo Conte, et les frères Mouss et Hakim, des anciens du groupe Zebda, participeront à la fête avec LeOparleur, Mam, le trio Miyazaki et Jaune Toujours.
Des concerts seront également donnés dans trois villes voisines ainsi qu'à Offenbourg en Allemagne.
