Le groupe, dont l'essentiel des activités minières se situe en Europe mais qui est basé à Londres et au Canada, indique que le fonds souverain du Qatar va développer les activités d'extraction d'or sur les sites miniers de Skouries et Olympias, au nord de la Grèce.
Le site de Skouries comporte des gisements de cuivre et d'or, tandis que celui d'Olympias contient de l'or, du zinc, du plomb et de l'argent, indique European Goldfields. Le gouvernement grec avait accordé les autorisations d'exploitation l'été dernier.
A la suite de cet accord, l'émir du Qatar Cheick Hamad bin Khalifa al-Thani avait rencontré samedi soir le Premier ministre grec Georges Papandréou à Athènes.
"Nous avons construit une relation très étroite faite de respect mutuel, et nous Grecs sommes particulièrement contents que ces relations mènent à des investissements dans notre pays" a indiqué M. Papandréou après la visite. L'émir du Qatar a de son cô té remercié la Grèce pour son aide dans le sauvetage et l'hospitalisation en Crète de responsables qataris durant la crise libyenne.
Selon l'agence de presse grecque ANA, l'accord porte au total sur un investissement de 1,2 milliard d'euros et permettra à terme la création de 1.500 emplois en Grèce.
La part de 9,9% dans European Goldfields a été achetée auprès de ses deux principaux actionnaires grecs, le groupe grec de BTP Aktor et Dimitris Koutras.
Il intervient un an après la signature d'un accord cadre entre le Qatar et la Grèce pour faciliter les investissements. Début septembre, le fonds souverain Qatar Holdings a également investi 500 millions d'euros dans le secteur bancaire grec en permettant la fusion de la 2e et 3e banque du pays Alpha et Eurobank qui doit être complétée d'ici la fin de l'année et dont le groupe qatari va devenir le premier actionnaire.
Le Qatar a également marqué son intérêt pour des investissements dans l'immobilier en Grèce, notamment pour le site de l'ancien aéroport d'Athènes Hellinikon, inscrit sur la liste des actifs privatisables.
Le site de Skouries comporte des gisements de cuivre et d'or, tandis que celui d'Olympias contient de l'or, du zinc, du plomb et de l'argent, indique European Goldfields. Le gouvernement grec avait accordé les autorisations d'exploitation l'été dernier.
A la suite de cet accord, l'émir du Qatar Cheick Hamad bin Khalifa al-Thani avait rencontré samedi soir le Premier ministre grec Georges Papandréou à Athènes.
"Nous avons construit une relation très étroite faite de respect mutuel, et nous Grecs sommes particulièrement contents que ces relations mènent à des investissements dans notre pays" a indiqué M. Papandréou après la visite. L'émir du Qatar a de son cô té remercié la Grèce pour son aide dans le sauvetage et l'hospitalisation en Crète de responsables qataris durant la crise libyenne.
Selon l'agence de presse grecque ANA, l'accord porte au total sur un investissement de 1,2 milliard d'euros et permettra à terme la création de 1.500 emplois en Grèce.
La part de 9,9% dans European Goldfields a été achetée auprès de ses deux principaux actionnaires grecs, le groupe grec de BTP Aktor et Dimitris Koutras.
Il intervient un an après la signature d'un accord cadre entre le Qatar et la Grèce pour faciliter les investissements. Début septembre, le fonds souverain Qatar Holdings a également investi 500 millions d'euros dans le secteur bancaire grec en permettant la fusion de la 2e et 3e banque du pays Alpha et Eurobank qui doit être complétée d'ici la fin de l'année et dont le groupe qatari va devenir le premier actionnaire.
Le Qatar a également marqué son intérêt pour des investissements dans l'immobilier en Grèce, notamment pour le site de l'ancien aéroport d'Athènes Hellinikon, inscrit sur la liste des actifs privatisables.