A partir de jeudi dernier, les internautes chinois qui voulaient accéder à l’adresse cn.bing.com ont été redirigés par une page d’erreur. Le fonctionnement de Bing a cependant repris vendredi soir.
Bing, moteur de recherche de Microsoft, est le seul moteur de recherche étranger d’importance encore accessible en Chine, le groupe de Redmond ayant accepté de censurer les résultats des requêtes sur des sujets sensibles, à la différence de Google.
Microsoft a également conclu un partenariat avec 21Vianet, un fournisseur chinois de services et de centres de traitement de données pour proposer ses produits Azure et Office 365 en Chine.
Le moteur de recherche de Google est bloqué en Chine depuis 2010 et le directeur général du groupe, Sundar Pichai, a déclaré en décembre que le géant d’internet n’avait “aucun projet” en vue de relancer son service dans le pays, même s’il continue d’étudier l’idée.
Le président chinois Xi Jinping a renforcé le contrôle d’internet en Chine depuis 2016, le parti communiste au pouvoir cherchant à réprimer les mouvements de dissidence dans les réseaux sociaux.
Dans un communiqué, l’Administration chinoise du cyberespace a déclaré avoir supprimé plus de sept millions d’informations en ligne et 9.382 applications mobiles.
Bing, moteur de recherche de Microsoft, est le seul moteur de recherche étranger d’importance encore accessible en Chine, le groupe de Redmond ayant accepté de censurer les résultats des requêtes sur des sujets sensibles, à la différence de Google.
Microsoft a également conclu un partenariat avec 21Vianet, un fournisseur chinois de services et de centres de traitement de données pour proposer ses produits Azure et Office 365 en Chine.
Le moteur de recherche de Google est bloqué en Chine depuis 2010 et le directeur général du groupe, Sundar Pichai, a déclaré en décembre que le géant d’internet n’avait “aucun projet” en vue de relancer son service dans le pays, même s’il continue d’étudier l’idée.
Le président chinois Xi Jinping a renforcé le contrôle d’internet en Chine depuis 2016, le parti communiste au pouvoir cherchant à réprimer les mouvements de dissidence dans les réseaux sociaux.
Dans un communiqué, l’Administration chinoise du cyberespace a déclaré avoir supprimé plus de sept millions d’informations en ligne et 9.382 applications mobiles.