Moustapha Abdeljalil
"Le défi de Kadhafi aux forces de la coalition constitue toujours un danger, non seulement pour le peuple libyen mais aussi pour l'ensemble du monde", a déclaré M. Abdeljalil, chef du Conseil national de transition (CNT), organe politique des rebelles.
"C'est pourquoi nous appelons la coalition à poursuivre son soutien", a-t-il ajouté à l'ouverture d'une réunion des chefs d'état-major des pays engagés militairement en Libye.
Il a rendu un vibrant hommage à l'Otan pour le rôle déterminant joué par cette instance aux côtés de la rébellion. "Sans le soutien militaire de l'Otan, les rebelles ne seraient jamais parvenus là où ils sont aujourd'hui", a-t-il insisté.
La coalition internationale est intervenue en Libye le 19 mars, en application d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU évoquant la protection des civils face à la répression menée par le régime de M. Kadhafi contre une révolte engagée mi-février.
Depuis le 31 mars, ces opérations se déroulent sous le commandement de l'Otan.
Pour sa part, l'amiral américain Samuel Locklear, commandant des forces de l'Otan à Naples d'où est coordonnée l'opération en Libye, a affirmé que le mandat de l'ONU courait jusqu'au 27 septembre. "Le rôle futur de l'Otan sera clarifié à l'avenir", a-t-il ajouté.
"Nous avons toujours besoin (de la coalition) pour rétablir la sécurité et éliminer les cellules dormantes et les restes du régime de Kadhafi", a insisté un autre responsable libyen, Jalal al-Deghili, qui s'est présenté "comme le ministre de la Défense" libyen.
Il a plaidé pour "la poursuite d'un soutien militaire et logistique" de la coalition, espérant en particulier l'aide de l'Otan pour protéger les "forces dépêchées dans des zones désertiques pour contrôler les ressources hydrauliques".
Le chef d'état-major des forces armées du Qatar, Hamad Ben Ali Al-Attiyah, dont le pays a participé à la coalition internationale, a estimé que la situation en Libye exigeait "de poursuivre notre soutien", notamment pour "la sécurisation des frontières terrestres et maritimes" du pays.
Une quinzaine de pays, dont les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l'Italie, participent à la réunion des chefs d'état-major à Doha pour faire le point sur la situation militaire et sécuritaire en Libye, où les rebelles ont conforté leur contrôle sur la capitale et poursuivent leur progression vers Syrte (est), dernier grand bastion de Mouammar Kadhafi.
"C'est pourquoi nous appelons la coalition à poursuivre son soutien", a-t-il ajouté à l'ouverture d'une réunion des chefs d'état-major des pays engagés militairement en Libye.
Il a rendu un vibrant hommage à l'Otan pour le rôle déterminant joué par cette instance aux côtés de la rébellion. "Sans le soutien militaire de l'Otan, les rebelles ne seraient jamais parvenus là où ils sont aujourd'hui", a-t-il insisté.
La coalition internationale est intervenue en Libye le 19 mars, en application d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU évoquant la protection des civils face à la répression menée par le régime de M. Kadhafi contre une révolte engagée mi-février.
Depuis le 31 mars, ces opérations se déroulent sous le commandement de l'Otan.
Pour sa part, l'amiral américain Samuel Locklear, commandant des forces de l'Otan à Naples d'où est coordonnée l'opération en Libye, a affirmé que le mandat de l'ONU courait jusqu'au 27 septembre. "Le rôle futur de l'Otan sera clarifié à l'avenir", a-t-il ajouté.
"Nous avons toujours besoin (de la coalition) pour rétablir la sécurité et éliminer les cellules dormantes et les restes du régime de Kadhafi", a insisté un autre responsable libyen, Jalal al-Deghili, qui s'est présenté "comme le ministre de la Défense" libyen.
Il a plaidé pour "la poursuite d'un soutien militaire et logistique" de la coalition, espérant en particulier l'aide de l'Otan pour protéger les "forces dépêchées dans des zones désertiques pour contrôler les ressources hydrauliques".
Le chef d'état-major des forces armées du Qatar, Hamad Ben Ali Al-Attiyah, dont le pays a participé à la coalition internationale, a estimé que la situation en Libye exigeait "de poursuivre notre soutien", notamment pour "la sécurisation des frontières terrestres et maritimes" du pays.
Une quinzaine de pays, dont les Etats-Unis, la France, le Royaume-Uni et l'Italie, participent à la réunion des chefs d'état-major à Doha pour faire le point sur la situation militaire et sécuritaire en Libye, où les rebelles ont conforté leur contrôle sur la capitale et poursuivent leur progression vers Syrte (est), dernier grand bastion de Mouammar Kadhafi.