Le prix du baril pour livraison en janvier a, ainsi, atteint 50,41 dollars. C’est le plus haut niveau enregistré depuis le 27 octobre dernier.
L’OPEP envisagerait de réduire sa production ou de la maintenir constante, pour agir sur le prix du baril et le faire hausser à 60 ou 65 dollars au cours de cette année, affirment plusieurs observateurs.
«Les pays membres sont conscients de l’importance de rééquilibrer les marchés du brut. Quel que soit l’accord conclu aujourd’hui, il sera bénéfique aussi bien pour les économies de ces Etats que pour la croissance mondiale», a déclaré le président de l’OPEP, Mohammed Saleh Al-Sada, par ailleurs ministre qatari de l'Energie, à l’ouverture de la réunion de Vienne.
Et al-Sada d’ajouter : «les prix ont grimpé à 49 dollars, en moyenne, pour le baril après la réunion d’Alger le 28 septembre dernier. Nous voulons capitaliser sur ce succès».
L’OPEP envisagerait de réduire sa production ou de la maintenir constante, pour agir sur le prix du baril et le faire hausser à 60 ou 65 dollars au cours de cette année, affirment plusieurs observateurs.
«Les pays membres sont conscients de l’importance de rééquilibrer les marchés du brut. Quel que soit l’accord conclu aujourd’hui, il sera bénéfique aussi bien pour les économies de ces Etats que pour la croissance mondiale», a déclaré le président de l’OPEP, Mohammed Saleh Al-Sada, par ailleurs ministre qatari de l'Energie, à l’ouverture de la réunion de Vienne.
Et al-Sada d’ajouter : «les prix ont grimpé à 49 dollars, en moyenne, pour le baril après la réunion d’Alger le 28 septembre dernier. Nous voulons capitaliser sur ce succès».