Ils rendent hommage au soufisme par le biais de la poésie, de la musique et de la danse. Les participants proposent également de nouvelles formes d'art et des projets culturels susceptibles de promouvoir le dialogue interculturel et d'améliorer la qualité de la vie.
L'objectif premier de ce festival est de diffuser une image positive de l'Islam au plan international, en s'appuyant sur le langage universel de l'ouverture et de la paix que prône le soufisme. Les organisateurs veulent conforter le positionnement du Maroc dans le dialogue interculturel en jetant un pont entre l’Orient et l’Occident.
"Chaque jour permet de découvrir un pays en particulier, ses pratiques spirituelles, les maîtres qui l’ont habité, les paroles qui l’ont nourri et les arts et la culture qui en expriment l’essence profonde", explique Faouzi Skelli, le directeur du festival. "C'est ainsi que nous passerons par l’Egypte, la Syrie, la Palestine, la France, la Turquie, les pays d’Afrique, l’Espagne."
Au fil des années, le festival attire de plus en plus des visiteurs tant nationaux qu’internationaux, curieux de vivre et de connaître de plus près la culture du soufisme.
L'une de ses caractéristiques est l'organisation de forums publics permettant aux jeunes de découvrir une nouvelle vision du monde basée sur les valeurs de tolérance et de communauté.
Les débats s'attachent aux interactions existant entre valeurs spirituelles et société ou, plus généralement, valeurs spirituelles et mondialisation.
Le public peut également assister à des spectacles de chant soufi lors de soirées religieuses. Hamida Nidal, une enseignante, explique que les amateurs de musique sont entraînés dans un univers de spiritualité et de quiétude, où règnent paix et sérénité. "Notre monde a besoin d’une telle culture pour rejeter toutes les idées obscurantistes et apprendre à nos jeunes les bienfaits de la tolérance et de l’ouverture vers les cultures des autres. Nous devons faire renaître cette culture qui était florissante au Maroc à une certaine époque", affirme-t-elle.
Pour Kaddour Kamini, professeur d'enseignement islamique, ce type de festival permet au Maroc de se positionner sur la scène internationale comme un lieu de dialogue entre les cultures et comme la patrie d'un Islam riche, ouvert aux autres religions.
"Il est impossible d’entamer un dialogue avec l'autre si on n'est pas pacifié soi-même", explique le chanteur français Abdel Malik. Il y a des ressources dans la spiritualité pour faire bouger les choses dans un monde qui se déshumanise de plus en plus, ajoute-t-il.
L'objectif premier de ce festival est de diffuser une image positive de l'Islam au plan international, en s'appuyant sur le langage universel de l'ouverture et de la paix que prône le soufisme. Les organisateurs veulent conforter le positionnement du Maroc dans le dialogue interculturel en jetant un pont entre l’Orient et l’Occident.
"Chaque jour permet de découvrir un pays en particulier, ses pratiques spirituelles, les maîtres qui l’ont habité, les paroles qui l’ont nourri et les arts et la culture qui en expriment l’essence profonde", explique Faouzi Skelli, le directeur du festival. "C'est ainsi que nous passerons par l’Egypte, la Syrie, la Palestine, la France, la Turquie, les pays d’Afrique, l’Espagne."
Au fil des années, le festival attire de plus en plus des visiteurs tant nationaux qu’internationaux, curieux de vivre et de connaître de plus près la culture du soufisme.
L'une de ses caractéristiques est l'organisation de forums publics permettant aux jeunes de découvrir une nouvelle vision du monde basée sur les valeurs de tolérance et de communauté.
Les débats s'attachent aux interactions existant entre valeurs spirituelles et société ou, plus généralement, valeurs spirituelles et mondialisation.
Le public peut également assister à des spectacles de chant soufi lors de soirées religieuses. Hamida Nidal, une enseignante, explique que les amateurs de musique sont entraînés dans un univers de spiritualité et de quiétude, où règnent paix et sérénité. "Notre monde a besoin d’une telle culture pour rejeter toutes les idées obscurantistes et apprendre à nos jeunes les bienfaits de la tolérance et de l’ouverture vers les cultures des autres. Nous devons faire renaître cette culture qui était florissante au Maroc à une certaine époque", affirme-t-elle.
Pour Kaddour Kamini, professeur d'enseignement islamique, ce type de festival permet au Maroc de se positionner sur la scène internationale comme un lieu de dialogue entre les cultures et comme la patrie d'un Islam riche, ouvert aux autres religions.
"Il est impossible d’entamer un dialogue avec l'autre si on n'est pas pacifié soi-même", explique le chanteur français Abdel Malik. Il y a des ressources dans la spiritualité pour faire bouger les choses dans un monde qui se déshumanise de plus en plus, ajoute-t-il.