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Cet événement, organisé de vendredi à dimanche à la Porte de Versailles à Paris, se tenait alors que le marché français a enregistré un recul de ses ventes de 14% sur les cinq premiers mois de 2009, selon l'institut GfK, qui table sur un repli de 5% sur l'ensemble de l'année.
"J'ai préparé une liste de jeux prévus pour Noël que je suis venu tester. Cette année, je vais sûrement en acheter moins que l'an dernier alors c'est l'occasion de m'aider à faire des choix", explique Yannick, 29 ans, les bras chargés de cadeaux distribués dans les travées du salon.
Quelque 400 productions ont ainsi été dévoilées par les 160 exposants présents sur des stands aux effigies des mascottes du jeu vidéo comme Sonic, Mario ou encore les Lapins Crétins.
Le festival a été l'occasion de découvrir les avancées technologiques les plus récentes de cette industrie, comme la 3D en relief ou la réalité augmentée.
"C'est incroyable, on se croirait dans le jeu. En terme d'immersion, on n'a jamais été aussi loin. On a vraiment l'impression de pouvoir toucher les personnages, de passer à côté des arbres", s'enthousiame Luc, 19 ans, après avoir assisté à la présentation d'Avatar.
Ce titre de l'éditeur français Ubisoft, inspiré du film du même nom de James Cameron, offre un aperçu de ce que pourrait être le futur du jeu vidéo avec des images en relief grâce à des lunettes 3D, identiques à celles utilisées par l'industrie cinématographique depuis quelques mois.
Ce bond technologique, annoncé pour la fin de l'année, ne sera toutefois pas accessible à tous puisqu'il faudra posséder un téléviseur estampillé 3D pour pouvoir en profiter. Ce logiciel restera toutefois jouable sur n'importe quelle autre télévision, sans images en relief néanmoins.
Une des autres attractions du festival a été le titre Eyepet du japonais Sony, qui utilise la réalité augmentée, une technologie appliquant à un décor réel des objets virtuels en trois dimensions.
Dans cette production, le joueur fait apparaître dans son salon un petit animal avec lequel il peut jouer ou qu'il peut laver sur son écran. Le procédé permet aussi de dessiner des objets et de les incorporer dans le jeu grâce à la caméra vendue avec le disque, pour que sa bestiole s'amuse avec.
"C'est le Tamagotchi du XXIe siècle. Avec ça, tous les parents qui ne veulent pas d'un vrai animal domestique seront ravis", fait valoir Carole, 35 ans, alors que sa fille Emma fait faire du trampoline à son animal virtuel, croisement imaginaire d'un chat et d'un singe.
D'autres productions plus "classiques" étaient également de la partie, comme le jeu d'énigmes "Professeur Layton: la Boîte de Pandore" du japonais Nintendo ou la simulation de disc-jockey "DJ Hero" de l'américain Activision, livrée avec une platine pour pouvoir "scratcher".
L'espace "Retrogaming" a pour sa part offert aux joueurs un voyage à travers l'histoire du jeu vidéo avec plusieurs anciennes machines, datant pour certaines de plus de vingt ans.
"Avec cette animation, on a le passé, le présent et le futur du jeu vidéo sur le festival. La boucle est bouclée", juge Antoine, qui se dit "joueur depuis près de trois décennies".
"J'ai préparé une liste de jeux prévus pour Noël que je suis venu tester. Cette année, je vais sûrement en acheter moins que l'an dernier alors c'est l'occasion de m'aider à faire des choix", explique Yannick, 29 ans, les bras chargés de cadeaux distribués dans les travées du salon.
Quelque 400 productions ont ainsi été dévoilées par les 160 exposants présents sur des stands aux effigies des mascottes du jeu vidéo comme Sonic, Mario ou encore les Lapins Crétins.
Le festival a été l'occasion de découvrir les avancées technologiques les plus récentes de cette industrie, comme la 3D en relief ou la réalité augmentée.
"C'est incroyable, on se croirait dans le jeu. En terme d'immersion, on n'a jamais été aussi loin. On a vraiment l'impression de pouvoir toucher les personnages, de passer à côté des arbres", s'enthousiame Luc, 19 ans, après avoir assisté à la présentation d'Avatar.
Ce titre de l'éditeur français Ubisoft, inspiré du film du même nom de James Cameron, offre un aperçu de ce que pourrait être le futur du jeu vidéo avec des images en relief grâce à des lunettes 3D, identiques à celles utilisées par l'industrie cinématographique depuis quelques mois.
Ce bond technologique, annoncé pour la fin de l'année, ne sera toutefois pas accessible à tous puisqu'il faudra posséder un téléviseur estampillé 3D pour pouvoir en profiter. Ce logiciel restera toutefois jouable sur n'importe quelle autre télévision, sans images en relief néanmoins.
Une des autres attractions du festival a été le titre Eyepet du japonais Sony, qui utilise la réalité augmentée, une technologie appliquant à un décor réel des objets virtuels en trois dimensions.
Dans cette production, le joueur fait apparaître dans son salon un petit animal avec lequel il peut jouer ou qu'il peut laver sur son écran. Le procédé permet aussi de dessiner des objets et de les incorporer dans le jeu grâce à la caméra vendue avec le disque, pour que sa bestiole s'amuse avec.
"C'est le Tamagotchi du XXIe siècle. Avec ça, tous les parents qui ne veulent pas d'un vrai animal domestique seront ravis", fait valoir Carole, 35 ans, alors que sa fille Emma fait faire du trampoline à son animal virtuel, croisement imaginaire d'un chat et d'un singe.
D'autres productions plus "classiques" étaient également de la partie, comme le jeu d'énigmes "Professeur Layton: la Boîte de Pandore" du japonais Nintendo ou la simulation de disc-jockey "DJ Hero" de l'américain Activision, livrée avec une platine pour pouvoir "scratcher".
L'espace "Retrogaming" a pour sa part offert aux joueurs un voyage à travers l'histoire du jeu vidéo avec plusieurs anciennes machines, datant pour certaines de plus de vingt ans.
"Avec cette animation, on a le passé, le présent et le futur du jeu vidéo sur le festival. La boucle est bouclée", juge Antoine, qui se dit "joueur depuis près de trois décennies".
