Un plan d‘action de mise en oeuvre de ce traité, entré provisoirement en vigueur le 21 septembre et fortement contesté, a été présenté lors du conseil des ministres, à l‘Elysée.
“Il y a une volonté d‘essayer de mettre le CETA sous surveillance et de vérifier si l‘on peut se doter d‘outils et d‘instruments qui vont nous permettre d‘effacer les effets induits de ce traité”, a dit Nicolas Hulot à la presse. “Notre vigilance est importante.”
La ratification aura “probablement” lieu à “l‘horizon du deuxième semestre 2018”, a-t-il ajouté.
“Il y a une volonté d‘essayer de mettre le CETA sous surveillance et de vérifier si l‘on peut se doter d‘outils et d‘instruments qui vont nous permettre d‘effacer les effets induits de ce traité”, a dit Nicolas Hulot à la presse. “Notre vigilance est importante.”
La ratification aura “probablement” lieu à “l‘horizon du deuxième semestre 2018”, a-t-il ajouté.