En 2008, le marché français des jeux d'argent en ligne a dégagé un chiffre d'affaires de 759 millions d'euros, dont 219 millions d'euros pour la Française des jeux (FDJ) et 540 millions pour le PMU, seuls actuellement à être autorisés à proposer des paris sportifs ou hippiques sur internet, selon la FDJ et le PMU.
Ces chiffres doivent toutefois être appréhendés avec prudence car la grande majorité des sites en ligne sont illégaux. Il y en aurait "plus de 20.000", selon le ministre du Budget, Eric Woerth.
En prenant en compte les paris illégaux, le chiffre d'affaires aurait été compris l'an dernier entre 2,3 et 3,1 milliards d'euros, selon une étude du cabinet Precepta (groupe Xerfi) présentée mercredi.
Le secteur enregistre un taux de progression de l'ordre de 15 à 20% depuis plusieurs années, une bonne santé qui aiguise les appétits, note cette étude.
"Il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouvel acteur ne sorte du bois", relève Precepta.
Selon M. Woerth, une cinquantaine d'opérateurs devraient être légalisés, une fois adopté le projet de loi sur l'ouverture à la concurrence en 2010 des paris sportifs et hippiques et du poker en ligne, actuellement en débat à l'Assemblée. Parmi eux, BetClic (Mangas Capital Gaming, le groupe de Stéphane Courbit), Unibet et Bwin.
Certains d'entre eux ont déjà signé des partenariats avec des clubs sportifs comme Betclic avec le club de football de l'Olympique lyonnais ou Bwin avec le Real Madrid.
Egalement sur les rangs pour être légalisé, le groupe Partouche a annoncé en novembre 2008 l’ouverture aux résidents français de son site de jeux en ligne, sans autorisation.
Des groupes non issus du secteur des jeux d’argent s'intéressent ouvertement à ce marché, notamment Orange, M6, Amaury, Yahoo !, ou encore l'ancien PDG de TF1 Patrick Le Lay qui a ouvert un site, Eurosportbet.
Quant aux créations de sites de jeux gratuits, elles explosent (1jour1pari.com, pronostiz.com, betsetter.com). Ces sites ont pour vocation de proposer des jeux payants à terme ou de valoriser leur fichier-clients auprès d’opérateurs qui souhaiteront se lancer sur ce marché.
Ces chiffres doivent toutefois être appréhendés avec prudence car la grande majorité des sites en ligne sont illégaux. Il y en aurait "plus de 20.000", selon le ministre du Budget, Eric Woerth.
En prenant en compte les paris illégaux, le chiffre d'affaires aurait été compris l'an dernier entre 2,3 et 3,1 milliards d'euros, selon une étude du cabinet Precepta (groupe Xerfi) présentée mercredi.
Le secteur enregistre un taux de progression de l'ordre de 15 à 20% depuis plusieurs années, une bonne santé qui aiguise les appétits, note cette étude.
"Il ne se passe pas une semaine sans qu’un nouvel acteur ne sorte du bois", relève Precepta.
Selon M. Woerth, une cinquantaine d'opérateurs devraient être légalisés, une fois adopté le projet de loi sur l'ouverture à la concurrence en 2010 des paris sportifs et hippiques et du poker en ligne, actuellement en débat à l'Assemblée. Parmi eux, BetClic (Mangas Capital Gaming, le groupe de Stéphane Courbit), Unibet et Bwin.
Certains d'entre eux ont déjà signé des partenariats avec des clubs sportifs comme Betclic avec le club de football de l'Olympique lyonnais ou Bwin avec le Real Madrid.
Egalement sur les rangs pour être légalisé, le groupe Partouche a annoncé en novembre 2008 l’ouverture aux résidents français de son site de jeux en ligne, sans autorisation.
Des groupes non issus du secteur des jeux d’argent s'intéressent ouvertement à ce marché, notamment Orange, M6, Amaury, Yahoo !, ou encore l'ancien PDG de TF1 Patrick Le Lay qui a ouvert un site, Eurosportbet.
Quant aux créations de sites de jeux gratuits, elles explosent (1jour1pari.com, pronostiz.com, betsetter.com). Ces sites ont pour vocation de proposer des jeux payants à terme ou de valoriser leur fichier-clients auprès d’opérateurs qui souhaiteront se lancer sur ce marché.