Anders Fogh Rasmussen
"De telles fuites sont très regrettables et pourraient avoir de conséquences très négatives en matière de sécurité pour les personnes concernées", a répondu M. Rasmussen, interrogé sur la question lors d'une conférence de presse conjointe avec la chancelière allemande Angela Merkel.
"Des fuites pourraient mettre la vie de soldats et de civils en danger", a-t-il ajouté. Il a toutefois indiqué ne pas être en mesure de se prononcer en détail sur l'impact que pourrait avoir les prochaines révélations.
Lundi, Kristinn Hrafnsson, porte-parole de Wikileaks, a annoncé d'Islande que le site s'apprêtait à publier des documents, mais sans préciser lesquels: "Je peux juste dire que Wikileaks va publier quelque chose très bientô t".
Wikileaks a précisé mardi qu'il n'avait jamais dévoilé le sujet de ses prochaines révélations. "Nous n'avons jamais dit que nous publierions quelque chose sur l'Irak", a déclaré WikiLeaks sur le site de micro-blogs Twitter.
Le Pentagone, qui a annoncé il y a une semaine avoir mobilisé 120 personnes pour évaluer les conséquences possibles de la diffusion des documents, a demandé lundi aux médias de "ne pas faciliter la fuite" des documents sur l'Irak.
Par le passé, des organisations de défense des droits de l'homme ont également demandé à WikiLeaks d'effacer les noms d'Afghans aidant les forces américaines dans les documents publiés sur l'Afghanistan.
Le site WikiLeaks, fondé en 2006 et spécialisé dans le renseignement, a déjà diffusé de très nombreux documents confidentiels jetant une lumière crue sur les guerres en Irak et en Afghanistan, avec des révélations notamment sur les victimes civiles et sur les liens supposés entre le Pakistan et les insurgés.
WikiLeaks doit également prochainement publier près de 15.000 documents confidentiels supplémentaires sur la guerre en Afghanistan, après en avoir publié 77.000 en juillet, provoquant une tempête médiatique et la fureur du Pentagone.
Les Etats-Unis et l'OTAN ont déployé 150.000 troupes en Afghanistan pour combattre l'insurrection qui a commencé peu après le renversement du régime taliban fin 2001.
"Des fuites pourraient mettre la vie de soldats et de civils en danger", a-t-il ajouté. Il a toutefois indiqué ne pas être en mesure de se prononcer en détail sur l'impact que pourrait avoir les prochaines révélations.
Lundi, Kristinn Hrafnsson, porte-parole de Wikileaks, a annoncé d'Islande que le site s'apprêtait à publier des documents, mais sans préciser lesquels: "Je peux juste dire que Wikileaks va publier quelque chose très bientô t".
Wikileaks a précisé mardi qu'il n'avait jamais dévoilé le sujet de ses prochaines révélations. "Nous n'avons jamais dit que nous publierions quelque chose sur l'Irak", a déclaré WikiLeaks sur le site de micro-blogs Twitter.
Le Pentagone, qui a annoncé il y a une semaine avoir mobilisé 120 personnes pour évaluer les conséquences possibles de la diffusion des documents, a demandé lundi aux médias de "ne pas faciliter la fuite" des documents sur l'Irak.
Par le passé, des organisations de défense des droits de l'homme ont également demandé à WikiLeaks d'effacer les noms d'Afghans aidant les forces américaines dans les documents publiés sur l'Afghanistan.
Le site WikiLeaks, fondé en 2006 et spécialisé dans le renseignement, a déjà diffusé de très nombreux documents confidentiels jetant une lumière crue sur les guerres en Irak et en Afghanistan, avec des révélations notamment sur les victimes civiles et sur les liens supposés entre le Pakistan et les insurgés.
WikiLeaks doit également prochainement publier près de 15.000 documents confidentiels supplémentaires sur la guerre en Afghanistan, après en avoir publié 77.000 en juillet, provoquant une tempête médiatique et la fureur du Pentagone.
Les Etats-Unis et l'OTAN ont déployé 150.000 troupes en Afghanistan pour combattre l'insurrection qui a commencé peu après le renversement du régime taliban fin 2001.