"Le tribunal a fixé au 30 juin le début de ce procès", ont également indiqué des proches des suspects lundi à la presse.
Après l'attentat, la police judiciaire avait arrêté et présenté devant un juge d'instruction sept suspects, un huitième ayant été récemment déféré devant le même magistrat du tribunal antiterroriste.
Les huit personnes sont accusées de "terrorisme". Elles seront jugées devant ce tribunal en vertu de la loi antiterroriste qui a été adoptée au Maroc en 2004.
Selon l'acte d'accusation, les huit prévenus, dont le principal mis en cause Adil El Othmani, sont également accusés "de porter gravement atteinte à l'ordre public, assassinat avec préméditation et guet-apens, détention et fabrication d'explosifs et appartenance à un groupe religieux interdit".
L'accusation n'a pas précisé le nom et la nature du groupe religieux auquel les accusés sont suspectés d'appartenir.
Mais au lendemain de l'attentat, le ministère de l'Intérieur avait indiqué que le principal mis en cause "est fortement imprégné de l'idéologie jihadiste" et "exprime ouvertement son allégeance pour Al-Qaïda".
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a récemment nié toute implication dans l'attentat meurtrier de Marrakech, démentant la piste initialement évoquée par les enquêteurs.
Le principal suspect risque d'être condamné à la peine capitale si le tribunal reconnaît sa culpabilité, selon la loi antiterroriste.
L'attentat a été commis sur la terrasse du café Argana, dans la célèbre place Jamâa El Fna à Marrakech, haut lieu du tourisme marocain.
Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier depuis les attaques islamistes à Casablanca en 2003 qui avaient tué 33 personnes et 12 kamikazes.
Les huit suspects habitent tous à Safi, à 350 km au sud de Casablanca.
Après l'attentat, la police judiciaire avait arrêté et présenté devant un juge d'instruction sept suspects, un huitième ayant été récemment déféré devant le même magistrat du tribunal antiterroriste.
Les huit personnes sont accusées de "terrorisme". Elles seront jugées devant ce tribunal en vertu de la loi antiterroriste qui a été adoptée au Maroc en 2004.
Selon l'acte d'accusation, les huit prévenus, dont le principal mis en cause Adil El Othmani, sont également accusés "de porter gravement atteinte à l'ordre public, assassinat avec préméditation et guet-apens, détention et fabrication d'explosifs et appartenance à un groupe religieux interdit".
L'accusation n'a pas précisé le nom et la nature du groupe religieux auquel les accusés sont suspectés d'appartenir.
Mais au lendemain de l'attentat, le ministère de l'Intérieur avait indiqué que le principal mis en cause "est fortement imprégné de l'idéologie jihadiste" et "exprime ouvertement son allégeance pour Al-Qaïda".
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a récemment nié toute implication dans l'attentat meurtrier de Marrakech, démentant la piste initialement évoquée par les enquêteurs.
Le principal suspect risque d'être condamné à la peine capitale si le tribunal reconnaît sa culpabilité, selon la loi antiterroriste.
L'attentat a été commis sur la terrasse du café Argana, dans la célèbre place Jamâa El Fna à Marrakech, haut lieu du tourisme marocain.
Il s'agit de l'attentat le plus meurtrier depuis les attaques islamistes à Casablanca en 2003 qui avaient tué 33 personnes et 12 kamikazes.
Les huit suspects habitent tous à Safi, à 350 km au sud de Casablanca.