Hémicycle du Sénat, au Palais du Luxembourg
"Il apparaît aujourd'hui clairement que je suis victime d'une machination politique dans le département des Alpes-Maritimes. Depuis le déclenchement de cette affaire, en novembre 2009, il y a une volonté flagrante et constante de me nuire dans le but de m'éliminer de la vie politique locale", écrit-il.
S'estimant "diffamé, sali", il dit envisager "de déposer une plainte contre X pour des faits de violation du secret de l'instruction et recel de ce délit".
M. Vestri a été mis en examen mardi pour blanchiment à titre habituel et en bande organisée, trafic d'influence et association de malfaiteurs, dans le cadre d'une affaire de corruption présumée liée à la construction de la Tour Odéon à Monaco, instruite à Marseille par le juge d'instruction Charles Duchaine, de la Juridiction interrégionale spécialisée.
Le maire divers droite de Beausoleil (Alpes-Maritimes), Gérard Spinelli, mis en examen pour corruption passive dans le même dossier, avait lui aussi estimé, dans une interview au journal Le Parisien publiée le 27 février, qu'on avait "voulu (le) soumettre, (le) faire taire", dans le contexte d'un conflit politique avec le maire de Nice et ministre de l'Industrie, Christian Estrosi.
M. Vestri a déjà porté plainte pour diffamation et injure contre le journal Nice-Matin. L'affaire doit être jugée devant le tribunal correctionnel de Nice jeudi après-midi.
S'estimant "diffamé, sali", il dit envisager "de déposer une plainte contre X pour des faits de violation du secret de l'instruction et recel de ce délit".
M. Vestri a été mis en examen mardi pour blanchiment à titre habituel et en bande organisée, trafic d'influence et association de malfaiteurs, dans le cadre d'une affaire de corruption présumée liée à la construction de la Tour Odéon à Monaco, instruite à Marseille par le juge d'instruction Charles Duchaine, de la Juridiction interrégionale spécialisée.
Le maire divers droite de Beausoleil (Alpes-Maritimes), Gérard Spinelli, mis en examen pour corruption passive dans le même dossier, avait lui aussi estimé, dans une interview au journal Le Parisien publiée le 27 février, qu'on avait "voulu (le) soumettre, (le) faire taire", dans le contexte d'un conflit politique avec le maire de Nice et ministre de l'Industrie, Christian Estrosi.
M. Vestri a déjà porté plainte pour diffamation et injure contre le journal Nice-Matin. L'affaire doit être jugée devant le tribunal correctionnel de Nice jeudi après-midi.