
Le quotidien doit désormais respecter un préavis de 24 mois avant de pouvoir être imprimé ailleurs, soit à partir de novembre 2012.
Cette dénonciation a été rendue possible par le récent rachat du quotidien du soir, affirme Les Echos.
Le contrat d'impression, qui arrive à échéance en septembre 2013, stipule en effet qu'il peut être dénoncé de manière anticipée en cas de changement de propriétaire. Sans ce changement, Les Echos auraient dû attendre septembre 2011 pour le dénoncer.
Cependant, la direction du quotidien économique a également dit "ne pas exclure" une rupture anticipée du contrat, soit avant le terme des 24 mois de préavis, à la suite de "grave manquements".
Fin septembre, Les Echos avaient été à plusieurs reprises absents de certains kiosques en raison de problèmes à l'imprimerie du Monde.
L'imprimerie du Monde traverse de sérieuses difficultés et la direction du groupe a envisagé à plusieurs reprise sa cession sans trouver de repreneur. Les nouveaux actionnaires, MM. Niel, Berger et Pigasse doivent s'atteler à trouver une solution. Les investissements nécessaires à la modernisation de cette imprimerie sont généralement estimé à 50 millions d'euros.
Cette dénonciation a été rendue possible par le récent rachat du quotidien du soir, affirme Les Echos.
Le contrat d'impression, qui arrive à échéance en septembre 2013, stipule en effet qu'il peut être dénoncé de manière anticipée en cas de changement de propriétaire. Sans ce changement, Les Echos auraient dû attendre septembre 2011 pour le dénoncer.
Cependant, la direction du quotidien économique a également dit "ne pas exclure" une rupture anticipée du contrat, soit avant le terme des 24 mois de préavis, à la suite de "grave manquements".
Fin septembre, Les Echos avaient été à plusieurs reprises absents de certains kiosques en raison de problèmes à l'imprimerie du Monde.
L'imprimerie du Monde traverse de sérieuses difficultés et la direction du groupe a envisagé à plusieurs reprise sa cession sans trouver de repreneur. Les nouveaux actionnaires, MM. Niel, Berger et Pigasse doivent s'atteler à trouver une solution. Les investissements nécessaires à la modernisation de cette imprimerie sont généralement estimé à 50 millions d'euros.