Sarcophage pharaonique
Le sarcophage, qui date de la 21e dynastie (1081-931 avant JC), sera remis au chef du Conseil suprême des antiquités égyptiennes Zahi Hawass le mois prochain, a ajouté le ministre.
Le sarcophage, en bois, est orné de textes religieux et d'images devant aider le défunt --un homme nommé Emus-- dans son voyage après la mort.
L'Egypte avait demandé en 2009 la restitution du sarcophage aux Etats-Unis.
M. Hawass a déclaré lundi que le service américain de l'immigration et des douanes l'avait contacté en 2008 au sujet du cercueil après l'avoir confisqué à Miami (Floride, sud-est) à un négociant espagnol qui cherchait à le vendre.
Ce dernier "n'avait aucun document prouvant l'appartenance du sarcophage, ce qui montre qu'il a quitté l'Egypte illégalement", a dit le chef du Conseil suprême des antiquités dans un communiqué.
"Une enquête des autorités américaines en Floride a montré que (le négociant) avait des liens familiaux avec le coordinateur spécial qui possède le musée égyptien de Barcelone", a-t-il ajouté.
D'après les autorités égyptiennes, le sarcophage a été sorti en contrebande du pays en 1884. "C'est la meilleure solution, qu'il revienne à ses détenteurs originaux", a-t-il déclaré à l'AFP.
M. Hawass a précisé qu'il avait récupéré 6.000 objets à l'étranger depuis son arrivée à la tête du Conseil suprême des antiquités en 2002.
Le sarcophage, en bois, est orné de textes religieux et d'images devant aider le défunt --un homme nommé Emus-- dans son voyage après la mort.
L'Egypte avait demandé en 2009 la restitution du sarcophage aux Etats-Unis.
M. Hawass a déclaré lundi que le service américain de l'immigration et des douanes l'avait contacté en 2008 au sujet du cercueil après l'avoir confisqué à Miami (Floride, sud-est) à un négociant espagnol qui cherchait à le vendre.
Ce dernier "n'avait aucun document prouvant l'appartenance du sarcophage, ce qui montre qu'il a quitté l'Egypte illégalement", a dit le chef du Conseil suprême des antiquités dans un communiqué.
"Une enquête des autorités américaines en Floride a montré que (le négociant) avait des liens familiaux avec le coordinateur spécial qui possède le musée égyptien de Barcelone", a-t-il ajouté.
D'après les autorités égyptiennes, le sarcophage a été sorti en contrebande du pays en 1884. "C'est la meilleure solution, qu'il revienne à ses détenteurs originaux", a-t-il déclaré à l'AFP.
M. Hawass a précisé qu'il avait récupéré 6.000 objets à l'étranger depuis son arrivée à la tête du Conseil suprême des antiquités en 2002.