Mohamed Ould Abdel Aziz
Le vote devait s'achever à 19H00 (locales et GMT).
A Nouakchott, de longues files -avec les hommes d'un côté, les femmes de l'autre- se sont formées dans la matinée, notamment devant les bureaux de vote du Stade olympique ou dans le quartier populaire d'Arafat, a constaté un correspondant de l'AFP.
Neuf candidats sont en lice pour briguer les suffrages de plus de 1,2 million d'électeurs, répartis dans plus de 2.500 bureaux de votes éparpillés sur un territoire vaste comme deux fois la France.
Le vote se fait avec un bulletin unique avec les noms, les photos et les symboles des neuf candidats avec une case dans laquelle les électeurs mettent une croix ou un autre signe.
"C'est très important de voter, ma voix est très petite mais elle est aussi importante qu'une autre. Je veux qu'Aziz (l'ex-chef de la junte, le général Mohamed Ould Abdel Aziz) soit président", explique une vieille dame de 90 ans, conduite par sa fille.
Mohamed Ahid, 32 ans, a décidé lui de voter pour Ahmed Ould Daddah, chef du principal parti de l'opposition, car "c'est un homme qui a consacré sa vie à la Mauritanie".
"Les militaires lui ont volé la victoire (lors de la dernière présidentielle) en 2007, nous nous mobilisons pour qu'il n'en soit pas ainsi en 2009", explique-t-il.
Dans une école du quartier d'Arafat, comme dans de nombreux autres bureaux, des militaires organisent les files d'attente et ordonnent aux électeurs d'entrer dans le bureau de vote. A l'extérieur, des policiers assurent la sécurité.
La présence des militaires et des policiers autour des bureaux de vote est habituelle dans le pays, mais prenait un relief particulier après l'échange de tirs vendredi soir, dans le quartier Ksar à Nouakchott, entre des policiers et des "hommes en armes".
Selon les premières informations, il pourrait s'agir d'un groupe de combattants islamistes, surveillé par la police.
A Nouakchott, de longues files -avec les hommes d'un côté, les femmes de l'autre- se sont formées dans la matinée, notamment devant les bureaux de vote du Stade olympique ou dans le quartier populaire d'Arafat, a constaté un correspondant de l'AFP.
Neuf candidats sont en lice pour briguer les suffrages de plus de 1,2 million d'électeurs, répartis dans plus de 2.500 bureaux de votes éparpillés sur un territoire vaste comme deux fois la France.
Le vote se fait avec un bulletin unique avec les noms, les photos et les symboles des neuf candidats avec une case dans laquelle les électeurs mettent une croix ou un autre signe.
"C'est très important de voter, ma voix est très petite mais elle est aussi importante qu'une autre. Je veux qu'Aziz (l'ex-chef de la junte, le général Mohamed Ould Abdel Aziz) soit président", explique une vieille dame de 90 ans, conduite par sa fille.
Mohamed Ahid, 32 ans, a décidé lui de voter pour Ahmed Ould Daddah, chef du principal parti de l'opposition, car "c'est un homme qui a consacré sa vie à la Mauritanie".
"Les militaires lui ont volé la victoire (lors de la dernière présidentielle) en 2007, nous nous mobilisons pour qu'il n'en soit pas ainsi en 2009", explique-t-il.
Dans une école du quartier d'Arafat, comme dans de nombreux autres bureaux, des militaires organisent les files d'attente et ordonnent aux électeurs d'entrer dans le bureau de vote. A l'extérieur, des policiers assurent la sécurité.
La présence des militaires et des policiers autour des bureaux de vote est habituelle dans le pays, mais prenait un relief particulier après l'échange de tirs vendredi soir, dans le quartier Ksar à Nouakchott, entre des policiers et des "hommes en armes".
Selon les premières informations, il pourrait s'agir d'un groupe de combattants islamistes, surveillé par la police.