Après avoir tenu le rôle du commissaire Santamaria dans les douze épisodes de la première saison, le comédien Patrick Catalifo ne souhaitait pas poursuivre. Pour le remplacer, la production (Cipango) a choisi une femme, explique à l'AFP Didier Le Pêcheur, réalisateur de la première saison et de quatre épisodes (sur six) dans la deuxième.
Clémentine Célarié "est arrivée sur le plateau, bouillonnante d'énergie", elle représente "la personnalité parfaite pour rentrer dans cette série sans être un vilain petit canard", souligne Christophe Douchand, qui a réalisé les deux derniers épisodes de la saison 2.
Clémentine Célarié assure qu'elle a eu "l'impression d'être la nouvelle dans une classe qui se connaissait depuis longtemps".
Pour le reste, M6 n'a pas voulu changer une équipe qui gagne : cinq garçons et filles qui font leur premier pas dans la police, et s'affrontent au travers de leurs personnalités contrastées. Laura Maurier (Elodie Yung), Lyes Beloumi (Mhamed Arezki), Kevin Laporte (Nicolas Gob), Nadia Poulain (Gabriele Valensi) et Alex Moreno (Raphaël Lenglet).
Diffusée sur M6 en 2007, la première saison des "Bleus" a obtenu le grand prix de la meilleure série de début de soirée au Festival de fiction TV de La Rochelle 2007, tandis que Mhamed Arezki obtenait celui du jeune espoir masculin au festival de Luchon 2007.
Ces "bleus" ne le seront plus tout à fait pour les téléspectateurs fidèles de la série. Mais il s'agit toujours d'"une bande de jeunes gens qui ne savent pas très bien faire le métier qu'ils font et qui alignent conneries sur conneries, dans leur vie privé comme dans leur boulot", assure Didier Le Pêcheur.
Pour cette deuxième saison, plus courte que la première (six épisodes de 52 minutes diffusées deux par deux en trois soirées), M6 mise sur les ingrédients qui, selon Didier le Pêcheur, font de cette série "une vraie nouveauté". La vraie nouveauté, "c'est le style d'écriture, le style des dialogues. Cela ne ressemble à ma connaissance à rien de ce qui se fait en France", déclare-t-il.
Pour Christophe Douchand, qui lui a emboîté le pas dans la réalisation, "Les Bleus" sont une série policière "atypique" grâce à sa "galerie de portraits". Y compris quelques audaces, comme la relation homosexuelle qui unit deux policières dans le premier épisode de la saison 2.
Pour lutter contre le rouleau compresseur des séries américaines, "nos armes sont l'empathie qu'on peut avoir pour les personnages et la comédie", souligne Didier Le Pêcheur. "L'humour a ceci d'intéressant, c'est qu'il ne coûte pas cher", ajoute-t-il.
Chez Cipango, on juge que les meilleures armes de la série, davantage que l'action, sont "la comédie humaine, l'humour, l'irrévérence, l'émotion, la compassion, l'amour".
Avant même la diffusion de la seconde saison, une troisième est en préparation, dont huit épisodes sont déjà écrits. Pour sa part, Clémentine Célarié se dit prête à poursuivre l'aventure du commissaire Mercier.
Clémentine Célarié "est arrivée sur le plateau, bouillonnante d'énergie", elle représente "la personnalité parfaite pour rentrer dans cette série sans être un vilain petit canard", souligne Christophe Douchand, qui a réalisé les deux derniers épisodes de la saison 2.
Clémentine Célarié assure qu'elle a eu "l'impression d'être la nouvelle dans une classe qui se connaissait depuis longtemps".
Pour le reste, M6 n'a pas voulu changer une équipe qui gagne : cinq garçons et filles qui font leur premier pas dans la police, et s'affrontent au travers de leurs personnalités contrastées. Laura Maurier (Elodie Yung), Lyes Beloumi (Mhamed Arezki), Kevin Laporte (Nicolas Gob), Nadia Poulain (Gabriele Valensi) et Alex Moreno (Raphaël Lenglet).
Diffusée sur M6 en 2007, la première saison des "Bleus" a obtenu le grand prix de la meilleure série de début de soirée au Festival de fiction TV de La Rochelle 2007, tandis que Mhamed Arezki obtenait celui du jeune espoir masculin au festival de Luchon 2007.
Ces "bleus" ne le seront plus tout à fait pour les téléspectateurs fidèles de la série. Mais il s'agit toujours d'"une bande de jeunes gens qui ne savent pas très bien faire le métier qu'ils font et qui alignent conneries sur conneries, dans leur vie privé comme dans leur boulot", assure Didier Le Pêcheur.
Pour cette deuxième saison, plus courte que la première (six épisodes de 52 minutes diffusées deux par deux en trois soirées), M6 mise sur les ingrédients qui, selon Didier le Pêcheur, font de cette série "une vraie nouveauté". La vraie nouveauté, "c'est le style d'écriture, le style des dialogues. Cela ne ressemble à ma connaissance à rien de ce qui se fait en France", déclare-t-il.
Pour Christophe Douchand, qui lui a emboîté le pas dans la réalisation, "Les Bleus" sont une série policière "atypique" grâce à sa "galerie de portraits". Y compris quelques audaces, comme la relation homosexuelle qui unit deux policières dans le premier épisode de la saison 2.
Pour lutter contre le rouleau compresseur des séries américaines, "nos armes sont l'empathie qu'on peut avoir pour les personnages et la comédie", souligne Didier Le Pêcheur. "L'humour a ceci d'intéressant, c'est qu'il ne coûte pas cher", ajoute-t-il.
Chez Cipango, on juge que les meilleures armes de la série, davantage que l'action, sont "la comédie humaine, l'humour, l'irrévérence, l'émotion, la compassion, l'amour".
Avant même la diffusion de la seconde saison, une troisième est en préparation, dont huit épisodes sont déjà écrits. Pour sa part, Clémentine Célarié se dit prête à poursuivre l'aventure du commissaire Mercier.