
Leurs dates à Angers et à Guipavas, près de Brest, avaient déjà été supprimées de leur calendrier, pour "risque de trouble à l'ordre public", a précisé Eric Bellamy, gérant de la société Yuma Productions, qui s'occupe des concerts du collectif parisien.
"Sur le reste, on avance petit à petit. Toutes les salles s'interrogent. Dans les prochaines 48 heures, on aura une vision un peu plus globale sur ce qui va se passer. Pour le moment, on discute avec tout le monde", a-t-il expliqué.
La tournée de Sexion d'Assaut a commencé samedi à Pau et doit s'achever le 5 novembre au Zénith de Paris.
Avant sa représentation paloise, le groupe de rap, qui s'est fait connaître avec son album "L'école des points vitaux", a notamment rencontré le directeur du Zénith et le premier adjoint à la maire de la ville.
"Tout cela a permis d'apaiser les tensions qu'il y avait", s'est félicité le gérant.
Selon M. Bellamy, Sexion d'Assaut souhaite désormais rencontrer physiquement les associations pour s'expliquer, plutôt que de s'exprimer par communiqués comme il l'a fait au début de la polémique, née des déclarations d'un de ses membres, Lefa, au magazine International Hip hop.
"Pendant un temps, on a beaucoup attaqué les homosexuels parce qu'on est homophobe à cent pour cent et qu'on l'assume", avait-il affirmé.
Il s'est depuis excusé, mais plusieurs associations de défense des homosexuels se sont indignées des paroles sans équivoque relevées dans plusieurs titres du groupe.
La section de Strasbourg de la Ligue des droits de l'Homme a demandé samedi l'annulation du concert prévu le 20 octobre dans la capitale alsacienne.
L'Association d'aide, de défense homosexuelle, pour l'égalité des orientations sexuelles (Adheos) de Charente-Maritime a pour sa part saisi le CSA pour connaître sa position concernant des chansons du groupe aux textes "homophobes", qui sont "susceptibles d’avoir été et/ou d’être toujours diffusables auprès des radios et télévisions françaises".
"Sur le reste, on avance petit à petit. Toutes les salles s'interrogent. Dans les prochaines 48 heures, on aura une vision un peu plus globale sur ce qui va se passer. Pour le moment, on discute avec tout le monde", a-t-il expliqué.
La tournée de Sexion d'Assaut a commencé samedi à Pau et doit s'achever le 5 novembre au Zénith de Paris.
Avant sa représentation paloise, le groupe de rap, qui s'est fait connaître avec son album "L'école des points vitaux", a notamment rencontré le directeur du Zénith et le premier adjoint à la maire de la ville.
"Tout cela a permis d'apaiser les tensions qu'il y avait", s'est félicité le gérant.
Selon M. Bellamy, Sexion d'Assaut souhaite désormais rencontrer physiquement les associations pour s'expliquer, plutôt que de s'exprimer par communiqués comme il l'a fait au début de la polémique, née des déclarations d'un de ses membres, Lefa, au magazine International Hip hop.
"Pendant un temps, on a beaucoup attaqué les homosexuels parce qu'on est homophobe à cent pour cent et qu'on l'assume", avait-il affirmé.
Il s'est depuis excusé, mais plusieurs associations de défense des homosexuels se sont indignées des paroles sans équivoque relevées dans plusieurs titres du groupe.
La section de Strasbourg de la Ligue des droits de l'Homme a demandé samedi l'annulation du concert prévu le 20 octobre dans la capitale alsacienne.
L'Association d'aide, de défense homosexuelle, pour l'égalité des orientations sexuelles (Adheos) de Charente-Maritime a pour sa part saisi le CSA pour connaître sa position concernant des chansons du groupe aux textes "homophobes", qui sont "susceptibles d’avoir été et/ou d’être toujours diffusables auprès des radios et télévisions françaises".