Le comité de la Ligue arabe sur la Syrie --dont font partie l'Egypte, le Soudan, Oman, l'Algérie et le secrétaire général Nabil al-Arabi-- s'est réuni au siège de l'organisation panarabe, avant une réunion des ministres arabes des Affaires étrangères avec le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov.
M. Lavrov, qui est arrivé vendredi, s'est déjà entretenu avec les ministres des Affaires étrangères d'Arabie saoudite, du Qatar et du Koweït, a indiqué un diplomate arabe à l'AFP.
Les pays arabes sont critiques de la position russe sur la Syrie.
M. Lavrov a mis en garde contre toute "ingérence grossière" dans le conflit en Syrie lors d'une rencontre avec M. Annan, a indiqué samedi le ministère russe des Affaires étrangères.
"L'accent a été mis sur le fait qu'il est inadmissible de bafouer les normes du droit international, y compris via une ingérence grossière dans les affaires intérieures de la Syrie", a précisé le ministère dans un communiqué.
La Russie, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, a déjà bloqué, comme la Chine, deux résolutions condamnant la répression du régime de Bachar al-Assad.
Moscou a rejeté un nouveau texte américain au Conseil de sécurité exigeant du régime l'arrêt "immédiat" des violences et appelant l'opposition à "s'abstenir de toute violence" au cas où le pouvoir se plierait aux exigences de cette résolution.
Les Etats-Unis ont d'ailleurs dit ne "pas (être) très optimistes" quant à un accord sur une résolution, tout en soulignant que les discussions allaient bon train. "un travail important est en cours" pour que les positions évoluent, a souligné la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, qui rencontrera M. Lavrov lundi à New York.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), quelque 8.500 personnes ont été tuées dans les violences qui secouent la Syrie depuis bientô t un an.
M. Lavrov, qui est arrivé vendredi, s'est déjà entretenu avec les ministres des Affaires étrangères d'Arabie saoudite, du Qatar et du Koweït, a indiqué un diplomate arabe à l'AFP.
Les pays arabes sont critiques de la position russe sur la Syrie.
M. Lavrov a mis en garde contre toute "ingérence grossière" dans le conflit en Syrie lors d'une rencontre avec M. Annan, a indiqué samedi le ministère russe des Affaires étrangères.
"L'accent a été mis sur le fait qu'il est inadmissible de bafouer les normes du droit international, y compris via une ingérence grossière dans les affaires intérieures de la Syrie", a précisé le ministère dans un communiqué.
La Russie, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, a déjà bloqué, comme la Chine, deux résolutions condamnant la répression du régime de Bachar al-Assad.
Moscou a rejeté un nouveau texte américain au Conseil de sécurité exigeant du régime l'arrêt "immédiat" des violences et appelant l'opposition à "s'abstenir de toute violence" au cas où le pouvoir se plierait aux exigences de cette résolution.
Les Etats-Unis ont d'ailleurs dit ne "pas (être) très optimistes" quant à un accord sur une résolution, tout en soulignant que les discussions allaient bon train. "un travail important est en cours" pour que les positions évoluent, a souligné la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton, qui rencontrera M. Lavrov lundi à New York.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), quelque 8.500 personnes ont été tuées dans les violences qui secouent la Syrie depuis bientô t un an.