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L'accord en question doit être signé à Doha.
Il s'agit-là des premiers progrès enregistrés pour un retour de la paix depuis les derniers pourparlers en date qui s'étaient soldés par un échec en 2006.
Les négociations actuelles mettent face à face le gouvernement de Khartoum et le dirigeant du Mouvement pour la Justice et l' Egalité, ce qui ne s'etait plus produit depuis longtemps.
Selon des diplomates qui assistent à ces pourparlers, les participants ont trouvé un terrain d'entente sur un certain nombre de dossiers, y compris sur la fin des attaques lancées contre les deux millions de personnes, et même davantage, qui se sont refugiées dans les camps, et sur des garanties de sécurité pour la livraison des aides et pour l'échange de prisonniers.
Après la signature, des groupes de travail plus restreints continueront à négocier.
Des progrès indéniables ont été enregistrés, mais nous sommes encore loin du retour définitif de la paix.
D'autres mouvements rebelles et des organisations de la société civile doivent encore se joindre à ce processus qui vient d'être enclenché.
Et il ne faut pas oublier non plus que les menaces d'inculpation du président soudanais, Omar El Béchir, pour crimes de guerre par la Cour Pénale Internationale risquent de peser très lourd sur toutes les tentatives de paix.
C'est dans les prochains jours que la justice internationale doit annoncer officiellement sa décision.
En concluant cet accord maintenant, le gouvernment soudanais envoie un message à l'administration Obama et espère sans doute que l'inculpation de Omar el Béchir pourra être remise à plus tard.
Il s'agit-là des premiers progrès enregistrés pour un retour de la paix depuis les derniers pourparlers en date qui s'étaient soldés par un échec en 2006.
Les négociations actuelles mettent face à face le gouvernement de Khartoum et le dirigeant du Mouvement pour la Justice et l' Egalité, ce qui ne s'etait plus produit depuis longtemps.
Selon des diplomates qui assistent à ces pourparlers, les participants ont trouvé un terrain d'entente sur un certain nombre de dossiers, y compris sur la fin des attaques lancées contre les deux millions de personnes, et même davantage, qui se sont refugiées dans les camps, et sur des garanties de sécurité pour la livraison des aides et pour l'échange de prisonniers.
Après la signature, des groupes de travail plus restreints continueront à négocier.
Des progrès indéniables ont été enregistrés, mais nous sommes encore loin du retour définitif de la paix.
D'autres mouvements rebelles et des organisations de la société civile doivent encore se joindre à ce processus qui vient d'être enclenché.
Et il ne faut pas oublier non plus que les menaces d'inculpation du président soudanais, Omar El Béchir, pour crimes de guerre par la Cour Pénale Internationale risquent de peser très lourd sur toutes les tentatives de paix.
C'est dans les prochains jours que la justice internationale doit annoncer officiellement sa décision.
En concluant cet accord maintenant, le gouvernment soudanais envoie un message à l'administration Obama et espère sans doute que l'inculpation de Omar el Béchir pourra être remise à plus tard.
