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Une cérémonie a été organisée mardi 17 février à l'aéroport de Kidal, où les rebelles affiliés à l'Alliance Démocratique pour le Changement du 23 Mai 2006 se sont rendus en vertu de l'accord d'Alger.
La reddition de ces rebelles est le résultat d'un long effort de la part de l'ambassadeur d'Algérie au Mali, Abdelkrim Gheraib, qui participait à cette cérémonie. Étaient également présents Kafougouna Koune, le ministre malien de l'Administration Régionale et des Communautés Locales, et le porte-parole officiel des Touaregs, Ahmed Ag Bibi.
La télévision publique algérienne a diffusé mercredi soir des images de la restitution par les rebelles touaregs de leurs armes à M. Gheraib en sa qualité de médiateur. Un correspondant de la radio algérienne à Kidal qui assistait à cette cérémonie a déclaré que l'opération avait été accueillie avec grand soulagement par les deux parties au conflit. Les rebelles touaregs et les habitants ont fait retentir leur klaxons en l'honneur de la paix.
Les deux parties ont exprimé leurs remerciements à l'Algérie pour son rôle déterminant et pour avoir réussi à amener les deux parties autour de la table des négociations et à rétablir la paix. Le ministre Kafougouna Koune a remercié ses homologues algériens de leurs efforts incessants à Kidal, y compris la signature de l'accord d'Alger.
Cette reddition des rebelles est une étape positive pour son pays, a-t-il déclaré dans son discours prononcé lors de cette cérémonie de mardi, "parce que les gens doivent accepter les défis du développement, et non déclarer la guerre".
Même son de cloche chez le porte-parole du mouvement touareg Ahmed Ag Bibi. "Nous sommes convaincus par la paix", a-t-il déclaré. "C'est sur cette base que nous avons accepté de déposer les armes."
Abdelkrim Gheraib a promis de continuer ses efforts de paix jusqu'à ce que toutes les dispositions de l'accord aient été mises en oeuvre. "Cet accord est le symbole de la ferme volonté de l'Algérie et de son Président Abdelaziz Bouteflika... d'aider le peuple frère du Mali à revenir sur le chemin de la paix, de la stabilité et du développement", a-t-il affirmé.
Le diplomate algérien a également souligné que le dialogue reste "le meilleur moyen de garantir la paix et la stabilité sur une base permanente".
Les étapes suivantes prévues par l'accord d'Alger envisagent le retour dans leurs foyers des familles déplacées par ce conflit, et la libération des prisonniers de guerre détenus par chaque partie.
La reddition de ces rebelles est le résultat d'un long effort de la part de l'ambassadeur d'Algérie au Mali, Abdelkrim Gheraib, qui participait à cette cérémonie. Étaient également présents Kafougouna Koune, le ministre malien de l'Administration Régionale et des Communautés Locales, et le porte-parole officiel des Touaregs, Ahmed Ag Bibi.
La télévision publique algérienne a diffusé mercredi soir des images de la restitution par les rebelles touaregs de leurs armes à M. Gheraib en sa qualité de médiateur. Un correspondant de la radio algérienne à Kidal qui assistait à cette cérémonie a déclaré que l'opération avait été accueillie avec grand soulagement par les deux parties au conflit. Les rebelles touaregs et les habitants ont fait retentir leur klaxons en l'honneur de la paix.
Les deux parties ont exprimé leurs remerciements à l'Algérie pour son rôle déterminant et pour avoir réussi à amener les deux parties autour de la table des négociations et à rétablir la paix. Le ministre Kafougouna Koune a remercié ses homologues algériens de leurs efforts incessants à Kidal, y compris la signature de l'accord d'Alger.
Cette reddition des rebelles est une étape positive pour son pays, a-t-il déclaré dans son discours prononcé lors de cette cérémonie de mardi, "parce que les gens doivent accepter les défis du développement, et non déclarer la guerre".
Même son de cloche chez le porte-parole du mouvement touareg Ahmed Ag Bibi. "Nous sommes convaincus par la paix", a-t-il déclaré. "C'est sur cette base que nous avons accepté de déposer les armes."
Abdelkrim Gheraib a promis de continuer ses efforts de paix jusqu'à ce que toutes les dispositions de l'accord aient été mises en oeuvre. "Cet accord est le symbole de la ferme volonté de l'Algérie et de son Président Abdelaziz Bouteflika... d'aider le peuple frère du Mali à revenir sur le chemin de la paix, de la stabilité et du développement", a-t-il affirmé.
Le diplomate algérien a également souligné que le dialogue reste "le meilleur moyen de garantir la paix et la stabilité sur une base permanente".
Les étapes suivantes prévues par l'accord d'Alger envisagent le retour dans leurs foyers des familles déplacées par ce conflit, et la libération des prisonniers de guerre détenus par chaque partie.
