Dans le secteur privé, 28% des salariés disent avoir été victimes de discrimination, 22% dans le secteur public. Un sondage semblable réalisé en 2008 avaient donné 25% dans le privé et 22% dans le public.
Comme facteur de discrimination, l'âge (plus de 45 ans) est cité par 32% des salariés du privé et 38% du public. L'engagement politique ou syndical est cité par 25% dans le privé et 33% dans le public et l'origine ethnique par 35% dans le privé et 26% dans le public.
Plus d'un tiers des salariés disent avoir été témoins de discrimination (38% dans le privé et 37% dans le public). Les personnes issues de la communauté des gens du voyage sont les plus susceptibles d'être discriminées à compétence égale, estiment 50% des salariés du privé (44% dans la fonction publique).
Le second critère est le handicap (43%) et l'âge supérieur à 45 ans (36% dans le privé, 34% dans le public). En revanche la jeunesse (moins de 25 ans), l'homosexualité et le fait d'être une femme ou français d'origine étrangère ne sont perçus ni comme un avantage ni comme un inconvénient.
Confronté à la discrimination, vécue ou observée, 33% des salariés du privé en ont parlé à la direction ou à l'encadrement (44% dans le public), 24% ont alerté les syndicats dans le privé (40% dans le public) et 7% ont entamé une procédure dans le privé (15% dans le public). Le recours aux syndicats et représentants du personnel est considéré comme le niveau efficace d'intervention par 67% des salariés du privé et 78% de ceux du public.
Pour prévenir les discriminations au travail, les salariés croient d'abord à la publication des résultats des actions en faveur de l'égalité dans l'entreprise, puis à la possibilité d'alerter la direction de manière confidentielle et anonyme sur les cas de discrimination.
Viennent ensuite le CV anonyme et le label diversité. En revanche les avis sont mitigés sur l'éventualité d'un recours à des quotas de recrutement.
Le sondage a été réalisé du 18 au 21 mars 2009 par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.000 personnes (500 du privé, 500 du public).
Comme facteur de discrimination, l'âge (plus de 45 ans) est cité par 32% des salariés du privé et 38% du public. L'engagement politique ou syndical est cité par 25% dans le privé et 33% dans le public et l'origine ethnique par 35% dans le privé et 26% dans le public.
Plus d'un tiers des salariés disent avoir été témoins de discrimination (38% dans le privé et 37% dans le public). Les personnes issues de la communauté des gens du voyage sont les plus susceptibles d'être discriminées à compétence égale, estiment 50% des salariés du privé (44% dans la fonction publique).
Le second critère est le handicap (43%) et l'âge supérieur à 45 ans (36% dans le privé, 34% dans le public). En revanche la jeunesse (moins de 25 ans), l'homosexualité et le fait d'être une femme ou français d'origine étrangère ne sont perçus ni comme un avantage ni comme un inconvénient.
Confronté à la discrimination, vécue ou observée, 33% des salariés du privé en ont parlé à la direction ou à l'encadrement (44% dans le public), 24% ont alerté les syndicats dans le privé (40% dans le public) et 7% ont entamé une procédure dans le privé (15% dans le public). Le recours aux syndicats et représentants du personnel est considéré comme le niveau efficace d'intervention par 67% des salariés du privé et 78% de ceux du public.
Pour prévenir les discriminations au travail, les salariés croient d'abord à la publication des résultats des actions en faveur de l'égalité dans l'entreprise, puis à la possibilité d'alerter la direction de manière confidentielle et anonyme sur les cas de discrimination.
Viennent ensuite le CV anonyme et le label diversité. En revanche les avis sont mitigés sur l'éventualité d'un recours à des quotas de recrutement.
Le sondage a été réalisé du 18 au 21 mars 2009 par téléphone auprès d'un échantillon représentatif de 1.000 personnes (500 du privé, 500 du public).