Le thème “Long FAANG and BAT”, en référence aux groupes américains Facebook, Amazon, Apple, Netflix et Google d’une part, aux chinois Baidu, Alibaba et Tencent d’autre part, reste le plus populaire pour le septième mois consécutif.
Au deuxième rang se trouve celui de la vente à découvert sur les marchés émergents, montre l’étude, réalisée entre le 3 et le 9 août, juste avant le plongeon de la livre turque sur le marché des changes.
Les investisseurs interrogés ont dit sous-pondérer légèrement les actions des marchés émergents, mais à hauteur de 1% seulement, alors que la sous-pondération atteignait 27% avant la précédente crise des marchés émergents, précise BAML. Un écart qui incite à penser que les allocations pourraient encore fortement évoluer, en défaveur des émergents.
Interrogés sur les principaux risques pour les marchés financiers, les investisseurs ont une nouvelle fois placé en tête celui d’une guerre commerciale.
Conséquence de la montée de la prudence chez les gestionnaires: la part des liquidités dans les portefeuilles a légèrement augmenté, à 5% en août contre 4,7% en juillet.
L’opinion générale sur l’évolution des profits des entreprises s’est toutefois améliorée, le solde entre les avis positifs et négatifs atteignant cinq points.
Les gestionnaires européens sont un peu plus optimistes que les autres puisqu’ils ont ramené la part des liquidités de 5% à 4,3%. La proportion des investisseurs européens disant anticiper une accélération de la croissance économique a atteint son plus haut niveau depuis avril tandis que celle disant s’attendre à une récession d’ici un an diminuait pour tomber à l’un de ses plus bas niveaux historiques.
La surpondération des actions américaines a parallèlement atteint son plus haut niveau depuis janvier 2015, faisant des Etats-Unis la destination privilégiée sur le marché actions pour la première fois depuis cinq ans.
Du point de vue des perspectives de bénéfices, les Etats-Unis sont la région la plus intéressante pour 67% des gestionnaires interrogés, le chiffre le plus élevé enregistré depuis 17 ans.
Les capitaux investis dans les actions britanniques ont au contraire diminué, la baisse atteignant même son rythme le plus élevé depuis mai 2016, juste avant le référendum sur l’Union européenne.
Au deuxième rang se trouve celui de la vente à découvert sur les marchés émergents, montre l’étude, réalisée entre le 3 et le 9 août, juste avant le plongeon de la livre turque sur le marché des changes.
Les investisseurs interrogés ont dit sous-pondérer légèrement les actions des marchés émergents, mais à hauteur de 1% seulement, alors que la sous-pondération atteignait 27% avant la précédente crise des marchés émergents, précise BAML. Un écart qui incite à penser que les allocations pourraient encore fortement évoluer, en défaveur des émergents.
Interrogés sur les principaux risques pour les marchés financiers, les investisseurs ont une nouvelle fois placé en tête celui d’une guerre commerciale.
Conséquence de la montée de la prudence chez les gestionnaires: la part des liquidités dans les portefeuilles a légèrement augmenté, à 5% en août contre 4,7% en juillet.
L’opinion générale sur l’évolution des profits des entreprises s’est toutefois améliorée, le solde entre les avis positifs et négatifs atteignant cinq points.
Les gestionnaires européens sont un peu plus optimistes que les autres puisqu’ils ont ramené la part des liquidités de 5% à 4,3%. La proportion des investisseurs européens disant anticiper une accélération de la croissance économique a atteint son plus haut niveau depuis avril tandis que celle disant s’attendre à une récession d’ici un an diminuait pour tomber à l’un de ses plus bas niveaux historiques.
La surpondération des actions américaines a parallèlement atteint son plus haut niveau depuis janvier 2015, faisant des Etats-Unis la destination privilégiée sur le marché actions pour la première fois depuis cinq ans.
Du point de vue des perspectives de bénéfices, les Etats-Unis sont la région la plus intéressante pour 67% des gestionnaires interrogés, le chiffre le plus élevé enregistré depuis 17 ans.
Les capitaux investis dans les actions britanniques ont au contraire diminué, la baisse atteignant même son rythme le plus élevé depuis mai 2016, juste avant le référendum sur l’Union européenne.