"Quatre personnes sont mortes et il y a 35 blessés", a déclaré le responsable de la communication de la Croix-Rouge libanaise, Ayad al-Monzer.
Le "Front al-Nosra au Liban", considéré comme une branche d'un groupe syrien lié à Al-Qaïda, a revendiqué l'attentat.
"Avec l'aide de Dieu le tout-puissant, nous avons répondu aux massacres menés par le parti de l'Iran (le mouvement libanais chiite Hezbollah, ndlr) (...) par une opération martyre dans son territoire des quartiers sud" de Beyrouth, a affirmé le groupe dans un communiqué publié sur son compte Twitter.
L'Agence nationale d'information (ANI) a fait état d'un attentat suicide. "Un kamikaze s'est fait exploser dans une voiture (...) à Haret Hreik", a-t-elle affirmé.
L'attentat s'est produit dans une rue commerçante très fréquentée, déjà visée début janvier par un attentat suicide à la voiture piégée, qui avait fait cinq morts, a ajouté l'agence.
"L'explosion a eu lieu rue al-Arid à Haret Hreik", a expliqué la chaîne du Hezbollah, Al-Manar.
Sur place, des pompiers tentaient d'éteindre les flammes tandis que des ambulances transportaient les blessés dans des hôpitaux proches, selon un photographe de l'AFP, qui a précisé que des soldats et des hommes du Hezbollah chargés de la sécurité étaient déployés dans le secteur.
Cet attentat est le sixième depuis juillet à viser des fiefs du mouvement chiite libanais engagé au côté du régime syrien dans sa guerre contre les rebelles, et le troisième en seulement un mois.
Une voiture piégée avait explosé il y a moins d'une semaine à Hermel, dans la vallée de la Bekaa, tuant trois personnes. Cet attentat avait également été revendiqué par le "Front al-Nosra au Liban", apparu récemment.
Celui du 2 janvier ayant visé Al-Arid avait été revendiqué l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), affilié à Al-Qaïda.
Le Liban est profondément divisé sur le conflit syrien, qui a exacerbé les tensions communautaires entre les sunnites et les chiites, emmenés par le puissant Hezbollah.
Le parti chiite, proche allié du pouvoir en Syrie, a reconnu fin avril 2013 avoir envoyé des hommes pour soutenir les troupes de Bachar al-Assad.
Le "Front al-Nosra au Liban", considéré comme une branche d'un groupe syrien lié à Al-Qaïda, a revendiqué l'attentat.
"Avec l'aide de Dieu le tout-puissant, nous avons répondu aux massacres menés par le parti de l'Iran (le mouvement libanais chiite Hezbollah, ndlr) (...) par une opération martyre dans son territoire des quartiers sud" de Beyrouth, a affirmé le groupe dans un communiqué publié sur son compte Twitter.
L'Agence nationale d'information (ANI) a fait état d'un attentat suicide. "Un kamikaze s'est fait exploser dans une voiture (...) à Haret Hreik", a-t-elle affirmé.
L'attentat s'est produit dans une rue commerçante très fréquentée, déjà visée début janvier par un attentat suicide à la voiture piégée, qui avait fait cinq morts, a ajouté l'agence.
"L'explosion a eu lieu rue al-Arid à Haret Hreik", a expliqué la chaîne du Hezbollah, Al-Manar.
Sur place, des pompiers tentaient d'éteindre les flammes tandis que des ambulances transportaient les blessés dans des hôpitaux proches, selon un photographe de l'AFP, qui a précisé que des soldats et des hommes du Hezbollah chargés de la sécurité étaient déployés dans le secteur.
Cet attentat est le sixième depuis juillet à viser des fiefs du mouvement chiite libanais engagé au côté du régime syrien dans sa guerre contre les rebelles, et le troisième en seulement un mois.
Une voiture piégée avait explosé il y a moins d'une semaine à Hermel, dans la vallée de la Bekaa, tuant trois personnes. Cet attentat avait également été revendiqué par le "Front al-Nosra au Liban", apparu récemment.
Celui du 2 janvier ayant visé Al-Arid avait été revendiqué l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), affilié à Al-Qaïda.
Le Liban est profondément divisé sur le conflit syrien, qui a exacerbé les tensions communautaires entre les sunnites et les chiites, emmenés par le puissant Hezbollah.
Le parti chiite, proche allié du pouvoir en Syrie, a reconnu fin avril 2013 avoir envoyé des hommes pour soutenir les troupes de Bachar al-Assad.