La « brigade 30 », chargée de la protection du champ de pétrole, a considéré, dans un communiqué consulté par Anadolu, que « l’arrêt de la production dans le champ résulte du silence des responsables de l’Etat libyen face à ses revendications ».
Elle a expliqué que ces revendications impliquent « le développement de toutes les régions du Sud et la fourniture de l’essence, de liquidité financière dans les banques ainsi que l'approvisionnement des centres de santé et des hôpitaux en médicaments ».
La Libye lutte depuis le début de l’année courante, pour augmenter la production du brut et pour répondre aux besoins du marché local en carburant et en devises, provenant des exportations du pétrole.
Le pays a réussi, depuis juillet dernier, à augmenter sa production à plus de 1 million de barils par jour, pour la première fois depuis le troisième trimestre de 2013.
La brigade 30 revendique également la libération des citoyens du Sud kidnappés à Tripoli et la rétribution des personnes chargées de la protection du champ.
D’après le communiqué, le gouvernement de consensus national devrait assumer les conséquences s'il ne répond pas à ses revendications « légitimes » et qui « représentent l’opinion publique dans le Sud du pays ».
Le 24 septembre dernier, des groupes armés avaient menacé de fermer le champ pétrolier al-Sharara, au cas où deux personnes du Sud de la Libye n'étaient pas libérées.
Le champ al-Sharara se situe à 800 km au Sud de Tripoli et produit près de 340 mille barils par jour.
Elle a expliqué que ces revendications impliquent « le développement de toutes les régions du Sud et la fourniture de l’essence, de liquidité financière dans les banques ainsi que l'approvisionnement des centres de santé et des hôpitaux en médicaments ».
La Libye lutte depuis le début de l’année courante, pour augmenter la production du brut et pour répondre aux besoins du marché local en carburant et en devises, provenant des exportations du pétrole.
Le pays a réussi, depuis juillet dernier, à augmenter sa production à plus de 1 million de barils par jour, pour la première fois depuis le troisième trimestre de 2013.
La brigade 30 revendique également la libération des citoyens du Sud kidnappés à Tripoli et la rétribution des personnes chargées de la protection du champ.
D’après le communiqué, le gouvernement de consensus national devrait assumer les conséquences s'il ne répond pas à ses revendications « légitimes » et qui « représentent l’opinion publique dans le Sud du pays ».
Le 24 septembre dernier, des groupes armés avaient menacé de fermer le champ pétrolier al-Sharara, au cas où deux personnes du Sud de la Libye n'étaient pas libérées.
Le champ al-Sharara se situe à 800 km au Sud de Tripoli et produit près de 340 mille barils par jour.