Les pays participants doivent notamment examiner un programme pour une "révolution bleue" - à l'instar de la "révolution verte" destinée à accroître la production agricole en Afrique - doté de 65 milliards d'euros et dont la mise en oeuvre serait étalée sur vingt ans.
Ce programme est destiné à créer "les infrastructures d'irrigation et hydroélectriques nécessaires pour accélérer le développement de l'Afrique et fournir davantage d'aliments et d'énergie électrique à une population qui atteindra 2 milliards d'individus en 2050", selon un communiqué de la FAO.
"Avec une population appelée à doubler en 2050, l'Afrique doit tripler sa production alimentaire au cours des 40 prochaines années et doit également assurer la fourniture de l'électricité à des millions d'usines et de foyers pour dynamiser le développement économique du continent", a souligné l'agence basée à Rome.
Cette conférence est organisée par la FAO en collaboration avec le gouvernement libyen, l'Union africaine, le Conseil des ministres africains pour le développement de l'eau, la Banque africaine de développement et la Commission économique pour l'Afrique.
Ce programme est destiné à créer "les infrastructures d'irrigation et hydroélectriques nécessaires pour accélérer le développement de l'Afrique et fournir davantage d'aliments et d'énergie électrique à une population qui atteindra 2 milliards d'individus en 2050", selon un communiqué de la FAO.
"Avec une population appelée à doubler en 2050, l'Afrique doit tripler sa production alimentaire au cours des 40 prochaines années et doit également assurer la fourniture de l'électricité à des millions d'usines et de foyers pour dynamiser le développement économique du continent", a souligné l'agence basée à Rome.
Cette conférence est organisée par la FAO en collaboration avec le gouvernement libyen, l'Union africaine, le Conseil des ministres africains pour le développement de l'eau, la Banque africaine de développement et la Commission économique pour l'Afrique.