Mouammar Kadhafi
La décision de la Cour pénale internationale (CPI) de délivrer un mandat d'arrêt à l'encontre du colonel Kadhafi, son fils Seif Al-Islam et du chef des services de renseignement libyens, Abdallah Al-Senoussi, annoncée à La Haye à la mi-journée, "souligne une fois de plus l'isolement croissant du régime", a déclaré le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen.
"Elle renforce le bien-fondé de la mission de l'Otan, qui est de protéger le peuple libyen des forces de Kadhafi", a ajouté M. Rasmussen, cité dans un communiqué.
"Kadhafi et ses hommes de main doivent comprendre que leur temps est plus que compté. L'Otan est plus déterminée que jamais à maintenir la pression jusqu'à ce que toutes les attaques contre des civils aient cessé, que les forces du régime soient retournées dans leurs casernes et que l'aide humanitaire soit totalement accessible à ceux qui en ont besoin", a également assuré le secrétaire général de l'Otan.
Le colonel Kadhafi, confronté à un mouvement de contestation de son régime après 42 ans de pouvoir absolu sur la Libye, est le second chef d'Etat poursuivi pour crimes contre l'humanité par la CPI, après le président soudanais Omar el-Béchir.
L'annonce des mandats d'arrêt intervient au moment où la campagne de bombardements des pays membres de l'Otan pour aider les rebelles libyens dure depuis cent jours et où le conflit s'enlise, le colonel Kadhafi étant toujours au pouvoir.
"Elle renforce le bien-fondé de la mission de l'Otan, qui est de protéger le peuple libyen des forces de Kadhafi", a ajouté M. Rasmussen, cité dans un communiqué.
"Kadhafi et ses hommes de main doivent comprendre que leur temps est plus que compté. L'Otan est plus déterminée que jamais à maintenir la pression jusqu'à ce que toutes les attaques contre des civils aient cessé, que les forces du régime soient retournées dans leurs casernes et que l'aide humanitaire soit totalement accessible à ceux qui en ont besoin", a également assuré le secrétaire général de l'Otan.
Le colonel Kadhafi, confronté à un mouvement de contestation de son régime après 42 ans de pouvoir absolu sur la Libye, est le second chef d'Etat poursuivi pour crimes contre l'humanité par la CPI, après le président soudanais Omar el-Béchir.
L'annonce des mandats d'arrêt intervient au moment où la campagne de bombardements des pays membres de l'Otan pour aider les rebelles libyens dure depuis cent jours et où le conflit s'enlise, le colonel Kadhafi étant toujours au pouvoir.