"La participation des Emirats aux patrouilles va commencer dans les prochains jours", a déclaré le ministre émirati des Affaires étrangères, cheikh Abdallah Ben Zayed Al-Nahyane, cité jeudi soir par l'agence officielle Wam.
"En application de la résolution 1973 des Nations unies, les Emirats sont totalement engagés en faveur des opérations humanitaires en Libye", a-t-il ajouté.
En outre, a-t-il encore dit, "l'armée de l'air émiratie a engagé six F-16 et six Mirage pour participer aux patrouilles faisant respecter la zone d'exclusion aérienne établie au dessus de la Libye".
Un ancien commandant de l'armée émiratie a indiqué cette semaine que son pays avait retardé son déploiement militaire en raison de désaccord avec l'Occident sur les troubles à Bahreïn.
Le général de division Khaled al-Buainain, cité par le quotidien The National d'Abou Dhabi, a expliqué que le désaccord provenait du fait que les monarchies pétrolières du Golfe estiment que les troubles à Bahreïn étaient attisés par l'Iran.
Ces monarchies, des alliés traditionnels de Washington et de l'Occident, ont "soutenu Bahreïn et ne sont pas contentes de l'attitude américaine et européenne", a-t-il dit au quotidien.
"Ils pensent que c'est une affaire de démocratie" alors qu'en fait "c'est un complot des Iraniens", a-t-il ajouté.
Les autorités bahreïnies avaient réprimé un mouvement de contestation après le déploiement de troupes de la force commune des pays du Golfe dans le royaume.
A Washington, un haut responsable américain a annoncé jeudi que les Emirats allaient contribuer aux opérations aériennes en Libye avec 12 avions de combat, sans toutefois confirmer le détail des appareils impliqués.
Le Qatar était jusqu'ici le seul pays arabe à participer aux opérations aériennes en Libye de la coalition internationale.
"En application de la résolution 1973 des Nations unies, les Emirats sont totalement engagés en faveur des opérations humanitaires en Libye", a-t-il ajouté.
En outre, a-t-il encore dit, "l'armée de l'air émiratie a engagé six F-16 et six Mirage pour participer aux patrouilles faisant respecter la zone d'exclusion aérienne établie au dessus de la Libye".
Un ancien commandant de l'armée émiratie a indiqué cette semaine que son pays avait retardé son déploiement militaire en raison de désaccord avec l'Occident sur les troubles à Bahreïn.
Le général de division Khaled al-Buainain, cité par le quotidien The National d'Abou Dhabi, a expliqué que le désaccord provenait du fait que les monarchies pétrolières du Golfe estiment que les troubles à Bahreïn étaient attisés par l'Iran.
Ces monarchies, des alliés traditionnels de Washington et de l'Occident, ont "soutenu Bahreïn et ne sont pas contentes de l'attitude américaine et européenne", a-t-il dit au quotidien.
"Ils pensent que c'est une affaire de démocratie" alors qu'en fait "c'est un complot des Iraniens", a-t-il ajouté.
Les autorités bahreïnies avaient réprimé un mouvement de contestation après le déploiement de troupes de la force commune des pays du Golfe dans le royaume.
A Washington, un haut responsable américain a annoncé jeudi que les Emirats allaient contribuer aux opérations aériennes en Libye avec 12 avions de combat, sans toutefois confirmer le détail des appareils impliqués.
Le Qatar était jusqu'ici le seul pays arabe à participer aux opérations aériennes en Libye de la coalition internationale.