
"Ils ont pénétré illégalement dans le pays et quand l'armée a libéré la ville d'Adjabiya des terroristes (...), ils l'ont trouvée la-bas", a précisé Seïf al-Islam Kadhafi à la chaîne américaine ABC, en réponse à une question sur ces journalistes.
"Ils l'ont arrêtée (...) Mais ils se sont réjouis ensuite en se rendant compte qu'elle était Américaine et non Européenne. Grâce à ça, elle sera libérée demain", a-t-il dit.
Le fils du colonel Kadhafi n'a pas donné le nom de la journaliste, ne confirmant pas s'il s'agissait de la photographe Lynsey Addario, un des quatre journalistes portés disparus près d'Ajdabiya.
La décision sur le sort de la journaliste "n'est pas de mon ressort", a-t-il dit.
Quatre reporters aguerris du New York Times sont portés disparus dans l'est de la Libye, avait annoncé mercredi le quotidien, la Maison Blanche appelant les autorités à protéger les journalistes.
Le New York Times a indiqué le 16 mars que ses quatre journalistes étaient portés disparus après avoir été vus pour la dernière fois dans l'est de la Libye, théâtre de combats entre le régime du colonel Mouammar Kadhafi et la rébellion.
Le Times a précisé que les journalistes disparus étaient des reporters aguerris, parmi lesquels le chef de son bureau de Beyrouth, Anthony Shadid, deux fois lauréat du prix Pulitzer.
Les autres journalistes sont Stephen Farrell, un reporter et cameraman qui avait été enlevé par les talibans en 2009 avant d'être libéré par un commando britannique, et deux photographes, Tyler Hicks et Lynsey Addario, qui ont tous deux une longue expérience journalistique au Moyen-Orient et en Afrique.
Seïf al-Islam Kadhafi a indiqué auparavant dans son interview à ABC que les Libyens étaient mieux disposés vis-à-vis des Américains que vis-à-vis des Européens ou des Arabes parce que Washington n'avait pas dans un premier temps appelé à une intervention militaire contre la Libye.
Jeudi, les Américains ont cependant voté à l'ONU en faveur d'une résolution approuvant des frappes aériennes contre le régime libyen.
"Ils l'ont arrêtée (...) Mais ils se sont réjouis ensuite en se rendant compte qu'elle était Américaine et non Européenne. Grâce à ça, elle sera libérée demain", a-t-il dit.
Le fils du colonel Kadhafi n'a pas donné le nom de la journaliste, ne confirmant pas s'il s'agissait de la photographe Lynsey Addario, un des quatre journalistes portés disparus près d'Ajdabiya.
La décision sur le sort de la journaliste "n'est pas de mon ressort", a-t-il dit.
Quatre reporters aguerris du New York Times sont portés disparus dans l'est de la Libye, avait annoncé mercredi le quotidien, la Maison Blanche appelant les autorités à protéger les journalistes.
Le New York Times a indiqué le 16 mars que ses quatre journalistes étaient portés disparus après avoir été vus pour la dernière fois dans l'est de la Libye, théâtre de combats entre le régime du colonel Mouammar Kadhafi et la rébellion.
Le Times a précisé que les journalistes disparus étaient des reporters aguerris, parmi lesquels le chef de son bureau de Beyrouth, Anthony Shadid, deux fois lauréat du prix Pulitzer.
Les autres journalistes sont Stephen Farrell, un reporter et cameraman qui avait été enlevé par les talibans en 2009 avant d'être libéré par un commando britannique, et deux photographes, Tyler Hicks et Lynsey Addario, qui ont tous deux une longue expérience journalistique au Moyen-Orient et en Afrique.
Seïf al-Islam Kadhafi a indiqué auparavant dans son interview à ABC que les Libyens étaient mieux disposés vis-à-vis des Américains que vis-à-vis des Européens ou des Arabes parce que Washington n'avait pas dans un premier temps appelé à une intervention militaire contre la Libye.
Jeudi, les Américains ont cependant voté à l'ONU en faveur d'une résolution approuvant des frappes aériennes contre le régime libyen.