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Anthony Réveillère
"Je suis globalement satisfait. J'ai participé à toutes les victoires de l'équipe, mais c'est avant tout le collectif qui prime", dit-il.
Absent au Mans (2-2) en ouverture du championnat, il a enchaîné cinq matches consécutifs et s'est montré à son avantage sur le côté droit de la défense, même s'il été plus en difficulté en seconde période face à Nancy (3-1) le 29 août.
"Cette saison, j'ai bien digéré la préparation, mais je n'ai pas envie de m'arrêter là. Je suis bien dans ma tête, je donne tout et je me fais plaisir", assure le défenseur, blessé le 22 novembre 2008 au Parc des Princes lors d'une rencontre de Ligue 1 face à Paris SG (défaite 1-0).
Souffrant d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche, il avait vu le club rhodanien annoncer que sa saison était terminée et qu'une intervention chirurgicale était nécessaire, mais il avait catégoriquement refusé l'opération.
"J'ai choisi de ne pas avoir recours à l'opération, je l'assume et j'ai fait mon deuil de cette blessure. J'avais fait mon choix en fonction de mes sensations personnelles. C'était un pari", rappelle Réveillère, 29 ans, qui a rejoué avec les professionnel le 11 avril au stade de Gerland contre Monaco (2-2), après s'être battu pour faire valoir son point de vue.
A gauche "en dernier recours"
"Dans notre métier, la meilleure réponse est sur le terrain", estime l'arrière droit, à l'OL depuis 2003 et qui ne veut plus jouer à gauche comme sa polyvalence le lui permettait jusqu'à ce qu'il ne se blesse en occupant ce poste contre le PSG.
Claude Puel a de nouveau envisagé cette option depuis le départ de Fabio Grosso à la Juventus Turin fin août pour pallier une éventuelle absence d'Aly Cissokho, recruté cet été.
"Je ne sais pas. Je verrais plus d'autres joueurs. Je me sens bien à droite et je pense que c'est là que j'apporte le plus. D'autres peuvent y prétendre et il y a les jeunes du centre de formation. Je peux dépanner mais vraiment en dernier recours", dégage Réveillère, qui ne partage manifestement pas l'opinion de son entraîneur même si à droite, il semble rester en concurrence avec François Clerc.
A quelques jours des débuts de l'OL en phase de groupes de Ligue des champions contre la Fiorentina, Réveillère est prêt à poursuivre sur sa lancée.
"C'est vrai, il y a un beau mois de septembre qui s'annonce. Tous les matches seront importants, même si ce n'est jamais évident de reprendre après une trêve internationale alors que nous étions sur une bonne dynamique", commente-t-il, se félicitant que l'équipe "ait retrouvé la culture de la gagne qui lui faisait défaut la saison dernière".
Lorient, qui vient défier l'OL samedi pour la 5e journée de L1, est prévenu.
Absent au Mans (2-2) en ouverture du championnat, il a enchaîné cinq matches consécutifs et s'est montré à son avantage sur le côté droit de la défense, même s'il été plus en difficulté en seconde période face à Nancy (3-1) le 29 août.
"Cette saison, j'ai bien digéré la préparation, mais je n'ai pas envie de m'arrêter là. Je suis bien dans ma tête, je donne tout et je me fais plaisir", assure le défenseur, blessé le 22 novembre 2008 au Parc des Princes lors d'une rencontre de Ligue 1 face à Paris SG (défaite 1-0).
Souffrant d'une rupture du ligament croisé antérieur du genou gauche, il avait vu le club rhodanien annoncer que sa saison était terminée et qu'une intervention chirurgicale était nécessaire, mais il avait catégoriquement refusé l'opération.
"J'ai choisi de ne pas avoir recours à l'opération, je l'assume et j'ai fait mon deuil de cette blessure. J'avais fait mon choix en fonction de mes sensations personnelles. C'était un pari", rappelle Réveillère, 29 ans, qui a rejoué avec les professionnel le 11 avril au stade de Gerland contre Monaco (2-2), après s'être battu pour faire valoir son point de vue.
A gauche "en dernier recours"
"Dans notre métier, la meilleure réponse est sur le terrain", estime l'arrière droit, à l'OL depuis 2003 et qui ne veut plus jouer à gauche comme sa polyvalence le lui permettait jusqu'à ce qu'il ne se blesse en occupant ce poste contre le PSG.
Claude Puel a de nouveau envisagé cette option depuis le départ de Fabio Grosso à la Juventus Turin fin août pour pallier une éventuelle absence d'Aly Cissokho, recruté cet été.
"Je ne sais pas. Je verrais plus d'autres joueurs. Je me sens bien à droite et je pense que c'est là que j'apporte le plus. D'autres peuvent y prétendre et il y a les jeunes du centre de formation. Je peux dépanner mais vraiment en dernier recours", dégage Réveillère, qui ne partage manifestement pas l'opinion de son entraîneur même si à droite, il semble rester en concurrence avec François Clerc.
A quelques jours des débuts de l'OL en phase de groupes de Ligue des champions contre la Fiorentina, Réveillère est prêt à poursuivre sur sa lancée.
"C'est vrai, il y a un beau mois de septembre qui s'annonce. Tous les matches seront importants, même si ce n'est jamais évident de reprendre après une trêve internationale alors que nous étions sur une bonne dynamique", commente-t-il, se félicitant que l'équipe "ait retrouvé la culture de la gagne qui lui faisait défaut la saison dernière".
Lorient, qui vient défier l'OL samedi pour la 5e journée de L1, est prévenu.
