« C’est un gros step. Nous avons eu des répétitions cette semaine et ça se passe assez bien. C’est certain que j’ai dû appendre le langage technique de la télé. On n’a pas fait de moi un animateur télé avec 20 ans d’expérience, dit PY, en entrevue. J’apprends à composer avec les caméras, les signes du régisseur... »
«Heureusement, pour moi, la production a réaménagé l’espace du studio pour que je puisse bouger», note-il.
Les lofteurs
Ce soir, Loft Story 6: la revanche présentera les lofteurs qui entreront dans le loft. Déjà, le public a choisi ses préférés (Cynthia, Dominique, Mathieu «Cass», Mathieu «Le gros», Hugues et Sébastien).
Ce soir, ce sera au tour de la production de faire connaître ses choix. «Mon rôle sera de mettre les lofteurs en valeur; ceux qui entreront dans le loft comme ceux qui n’y entreront pas. Ce soir, je serai plutôt un maître de cérémonie», dit PY.
Aux prochains galas, PY veut établir une complicité avec les lofteurs. «Je serai le seul contact qu’ils auront avec l’extérieur, dit-il. Ce sera au Maître de brasser la cage des lofteurs, de les déstabiliser», affirme PY.
Pas sa tasse de thé
S’il animera pendant neuf semaines les galas du dimanche de Loft Story, PY reconnaît sans gêne qu’il n’aurait jamais participé à une telle téléréalité comme lofteur.
«Jamais de la vie! Ma vie personnelle est assez pleine de rebondissements comme ça sans que j’aie besoin d’un Maître pour venir jouer dedans. Ce n’est pas mon genre de pleurer devant tout le monde. Je me cache pour pleurer; je n’irai pas le faire devant des milliers de téléspectateurs.»
L’animateur signale toutefois qu’il a suivi quelques éditions de la série, principalement celle mettant en vedette son amie Kim. «Je ne serais pas d’une émission du genre, mais j’aime bien la regarder. Je suis un voyeur. Comme tous ceux qui regardent la série et ceux qui disent ne pas la regader et la regardent quand même.»
PY retrouvera donc sa grande amie Kim lors des galas. «Nous avons travaillé ensemble à la radio, il y a sept ou huit ans. J’avais besoin d’une chroniqueuse qui avait de la drive et j’étais allé la chercher au CRTQ», se rappelle PY.
En plus d’animer les quotidiennes de la série, Kim participera au panel à la table ronde, le dimanche, aux côtés de Louise Deschâtelets. «J’adore travailler avec Louise Deschâtelets. Ça se passe très bien entre elle et moi», termine PY.
Un autre pas vers l'avenir
Après avoir été candidate, participante au panel et animatrice de l’émission quotidienne de Loft Story, Kim Rusk reconnaît qu’il serait temps pour elle de passer à autre chose.
«Je suis prête à autre chose, dit la jeune femme de 25 ans, et je travaille à plein d’autres projets en ce moment. Je me vois comme productrice, à la conception d’une émission, dit-elle, précisant qu’elle n’a pas l’intention de bouder le métier d’animatrice qu’elle ne pratique après tout que depuis deux ans.»
«Je suis une personne avec qui les gens s’ouvrent facilement, un peu comme Louise Deschâtelets. Je pourrais par exemple faire une émission de confidences, d’entrevues», évoque-t- elle. Au cours des prochains jours, Kim Rusk doit rencontrer les frères nouveaux propriétaires de TQS, ainsi que Robert Montour, vice-président contenu et création du réseau, pour faire le point sur son avenir.
«Je vais leur arriver avec un projet clé en main», dit-elle, affirmant ne pas avoir l’intention de refaire l’émission d’été qu’elle a animé l’année dernière. C’était vraiment à très petit, petit budget. On m’avait demandé de le faire pour m’exercer pour le Loft», dit-elle.
Une chose est certaine, la jeune femme entrevoit son avenir à TQS, le réseau qui lui a donné sa première chance. «Je donnerai toujours la priorité à TQS. Ces gens-là ont cru en moi dès ma sortie du loft. Les gars (les frères Julien et Maxime Rémillard) sont là pour le bienêtre de cette télévision-là.»
De toute façon, Kim Rusk reconnaît qu’elle n’a pas eu d’offre d’autres diffuseurs. «Il y a eu des choses qui ont été discutées avec une chaîne spécialisée, mais je n’ai pas donné suite», dit-elle, évoquant sa loyauté pour le Mouton noir.
D’ici à ce que ses projets soient plus clairs, Kim Rusk reprend l’animation des émissions quotidienne de Loft Story à compter de la semaine prochaine.
«Je vais suivre et raconter les faits et gestes des lofteurs. Cette année, il y a une nouvelle équipe à la conception et on me demande beaucoup ce que je pense», se réjouit-elle.
Pour remplir son mandat, Kim Rusk débarque chaque midi au studio où elle regarde les moments forts de la veille. «Je vois à peu près 45 minutes de matériel, alors que l’émission du soir dure 22 minutes. Dès que j’ai du temps, je regarde les lofteurs sur le Web, à partir de la régie ou à travers les décors», dit-elle.
«Heureusement, pour moi, la production a réaménagé l’espace du studio pour que je puisse bouger», note-il.
Les lofteurs
Ce soir, Loft Story 6: la revanche présentera les lofteurs qui entreront dans le loft. Déjà, le public a choisi ses préférés (Cynthia, Dominique, Mathieu «Cass», Mathieu «Le gros», Hugues et Sébastien).
Ce soir, ce sera au tour de la production de faire connaître ses choix. «Mon rôle sera de mettre les lofteurs en valeur; ceux qui entreront dans le loft comme ceux qui n’y entreront pas. Ce soir, je serai plutôt un maître de cérémonie», dit PY.
Aux prochains galas, PY veut établir une complicité avec les lofteurs. «Je serai le seul contact qu’ils auront avec l’extérieur, dit-il. Ce sera au Maître de brasser la cage des lofteurs, de les déstabiliser», affirme PY.
Pas sa tasse de thé
S’il animera pendant neuf semaines les galas du dimanche de Loft Story, PY reconnaît sans gêne qu’il n’aurait jamais participé à une telle téléréalité comme lofteur.
«Jamais de la vie! Ma vie personnelle est assez pleine de rebondissements comme ça sans que j’aie besoin d’un Maître pour venir jouer dedans. Ce n’est pas mon genre de pleurer devant tout le monde. Je me cache pour pleurer; je n’irai pas le faire devant des milliers de téléspectateurs.»
L’animateur signale toutefois qu’il a suivi quelques éditions de la série, principalement celle mettant en vedette son amie Kim. «Je ne serais pas d’une émission du genre, mais j’aime bien la regarder. Je suis un voyeur. Comme tous ceux qui regardent la série et ceux qui disent ne pas la regader et la regardent quand même.»
PY retrouvera donc sa grande amie Kim lors des galas. «Nous avons travaillé ensemble à la radio, il y a sept ou huit ans. J’avais besoin d’une chroniqueuse qui avait de la drive et j’étais allé la chercher au CRTQ», se rappelle PY.
En plus d’animer les quotidiennes de la série, Kim participera au panel à la table ronde, le dimanche, aux côtés de Louise Deschâtelets. «J’adore travailler avec Louise Deschâtelets. Ça se passe très bien entre elle et moi», termine PY.
Un autre pas vers l'avenir
Après avoir été candidate, participante au panel et animatrice de l’émission quotidienne de Loft Story, Kim Rusk reconnaît qu’il serait temps pour elle de passer à autre chose.
«Je suis prête à autre chose, dit la jeune femme de 25 ans, et je travaille à plein d’autres projets en ce moment. Je me vois comme productrice, à la conception d’une émission, dit-elle, précisant qu’elle n’a pas l’intention de bouder le métier d’animatrice qu’elle ne pratique après tout que depuis deux ans.»
«Je suis une personne avec qui les gens s’ouvrent facilement, un peu comme Louise Deschâtelets. Je pourrais par exemple faire une émission de confidences, d’entrevues», évoque-t- elle. Au cours des prochains jours, Kim Rusk doit rencontrer les frères nouveaux propriétaires de TQS, ainsi que Robert Montour, vice-président contenu et création du réseau, pour faire le point sur son avenir.
«Je vais leur arriver avec un projet clé en main», dit-elle, affirmant ne pas avoir l’intention de refaire l’émission d’été qu’elle a animé l’année dernière. C’était vraiment à très petit, petit budget. On m’avait demandé de le faire pour m’exercer pour le Loft», dit-elle.
Une chose est certaine, la jeune femme entrevoit son avenir à TQS, le réseau qui lui a donné sa première chance. «Je donnerai toujours la priorité à TQS. Ces gens-là ont cru en moi dès ma sortie du loft. Les gars (les frères Julien et Maxime Rémillard) sont là pour le bienêtre de cette télévision-là.»
De toute façon, Kim Rusk reconnaît qu’elle n’a pas eu d’offre d’autres diffuseurs. «Il y a eu des choses qui ont été discutées avec une chaîne spécialisée, mais je n’ai pas donné suite», dit-elle, évoquant sa loyauté pour le Mouton noir.
D’ici à ce que ses projets soient plus clairs, Kim Rusk reprend l’animation des émissions quotidienne de Loft Story à compter de la semaine prochaine.
«Je vais suivre et raconter les faits et gestes des lofteurs. Cette année, il y a une nouvelle équipe à la conception et on me demande beaucoup ce que je pense», se réjouit-elle.
Pour remplir son mandat, Kim Rusk débarque chaque midi au studio où elle regarde les moments forts de la veille. «Je vois à peu près 45 minutes de matériel, alors que l’émission du soir dure 22 minutes. Dès que j’ai du temps, je regarde les lofteurs sur le Web, à partir de la régie ou à travers les décors», dit-elle.