L'informaticien Peter Moore a été enlevé en mai 2007 avec ses quatre gardes du corps dans l'enceinte du ministère irakien des Finances, lors d'une opération menée dans le centre de Bagdad.
"Je ne pense pas qu'aucun d'entre nous puisse imaginer leur calvaire ni l'angoisse de leurs familles et amis pendant cette période insupportable", a déclaré le secrétaire au Foreign office David Miliband dans un communiqué.
"Nous appelons ceux qui détiennent tous les otages à les libérer immédiatement et sans conditions et à les rendre à leurs familles", a-t-il ajouté.
Dans une vidéo diffusée en décembre 2007, un des cinq hommes, se présentant sous le nom de Jason, avait déclaré que les activistes menaçaient de tuer un otage si les troupes de combat britanniques ne se retiraient pas d'Irak.
Le départ de ces brigades est prévu d'ici fin juillet, plus de six ans après l'intervention sous commandement américain qui a précipité la chute du régime de Saddam Hussein.
Un second enregistrement vidéo a été adressé aux autorités britanniques en mars mais n'a été montré qu'aux proches des otages. Peter Moore y affirmait que les cinq otages allaient bien et exhortait le gouvernement britannique à oeuvrer pour obtenir leur libération.
"Je ne pense pas qu'aucun d'entre nous puisse imaginer leur calvaire ni l'angoisse de leurs familles et amis pendant cette période insupportable", a déclaré le secrétaire au Foreign office David Miliband dans un communiqué.
"Nous appelons ceux qui détiennent tous les otages à les libérer immédiatement et sans conditions et à les rendre à leurs familles", a-t-il ajouté.
Dans une vidéo diffusée en décembre 2007, un des cinq hommes, se présentant sous le nom de Jason, avait déclaré que les activistes menaçaient de tuer un otage si les troupes de combat britanniques ne se retiraient pas d'Irak.
Le départ de ces brigades est prévu d'ici fin juillet, plus de six ans après l'intervention sous commandement américain qui a précipité la chute du régime de Saddam Hussein.
Un second enregistrement vidéo a été adressé aux autorités britanniques en mars mais n'a été montré qu'aux proches des otages. Peter Moore y affirmait que les cinq otages allaient bien et exhortait le gouvernement britannique à oeuvrer pour obtenir leur libération.