Dans la foule, certains portaient des panneaux tels que "A qui la faute?" en lettres rouges, ou appelaient à la démission du maire conservateur de cette ville de la Ruhr, Adolf Sauerland, par un "Sauerland dehors!".
Les manifestants ont ensuite observé une minute de silence à la mémoire des victimes.
Sous un feu roulant de critiques, le maire de Duisbourg a réaffirmé jeudi dans un entretien au quotidien Bild sa volonté de rester en fonction au moins jusqu'à ce que la lumière soit faite sur une catastrophe qui a fait plus de 500 blessés.
"Je suis en vie mais 21 personnes ont elles perdu leur vie. Je veux d'abord savoir pourquoi", a-t-il expliqué. "Ensuite j'en tirerai les conséquences personnelles".
Vingt-et-une personnes sont mortes étouffées samedi lors du festival de musique techno après un mouvement de panique aux abords d'un tunnel, unique accès au terrain d'une ancienne gare de fret qui hébergeait la Love parade.
Depuis, les organisateurs et autorités locales sont montrées du doigt pour avoir, selon certains, privilégié l'appât du gain sur les règles élémentaires de sécurité.
Les manifestants ont ensuite observé une minute de silence à la mémoire des victimes.
Sous un feu roulant de critiques, le maire de Duisbourg a réaffirmé jeudi dans un entretien au quotidien Bild sa volonté de rester en fonction au moins jusqu'à ce que la lumière soit faite sur une catastrophe qui a fait plus de 500 blessés.
"Je suis en vie mais 21 personnes ont elles perdu leur vie. Je veux d'abord savoir pourquoi", a-t-il expliqué. "Ensuite j'en tirerai les conséquences personnelles".
Vingt-et-une personnes sont mortes étouffées samedi lors du festival de musique techno après un mouvement de panique aux abords d'un tunnel, unique accès au terrain d'une ancienne gare de fret qui hébergeait la Love parade.
Depuis, les organisateurs et autorités locales sont montrées du doigt pour avoir, selon certains, privilégié l'appât du gain sur les règles élémentaires de sécurité.