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Mise en scène par Asmaa Houri, “Kharif”, ou automne, est le récit d’une femme atteinte de cancer qui met en scène une introspection, un aveu d’une femme cancéreuse qui nous dévoile un quotidien fébrile et fragile, redondant et laconique.
“Kharif” est un hymne au corps qui glorifie la vie et nargue la mort. C’est une prolifération artistique qui traverse le corps pour propager à l’infini l’éclatement des sens et incite à repenser la vie pour mieux la célébrer.
A travers un langage corporel sublime, “Kharif” traite des thématiques de la vie et de la mort, avec une musique live, des danses chorégraphiques et des accessoires artistiques, le tout pour exprimer des sentiments humains authentiques.
“Kharif est un spectacle porteur de sentiments humains qui célèbrent un corps souffrant, certes, mais qui brave la mort qui le déchire en silence et fait face à toutes sortes de souffrance morale et physique”, a déclaré Asmaa Houri à la MAP.
Kharif est un cri et un appel humanitaire afin de consolider les valeurs de solidarité, d’espoir et d’amour de la vie, a-t-elle ajouté.
De son côté, le directeur de la troupe “Théâtre Anfas”, Rachid Baroumi, a indiqué que le texte de cette pièce résume en lui l’équation entre la vie et la mort à travers l’histoire d’une femme atteinte de cancer, qui souffre de la stigmatisation et de l’isolement.
Des acteurs aussi talentueux les uns que les autres ont interprété cette pièce à l’image de Farida Bouazaoui et Salima Moumni à côté de jeunes acteurs comme Hajar Graigaa, Fatima Zohra Lahouitar et Zineb Ennajem. Rachid Bromi et Oussama Bourouain ont été à la musique live.
La troupe Anfas avait remporté le prix Cheikh Sultane Ben Mohammed Al Kassimi de meilleure oeuvre théâtrale arabe en 2016, lors de la 9è édition du théâtre arabe tenue à Oran-Mostganem en Algérie, du 10 au 19 janvier dernier.
Ecrite par Fatima Houri, soeur de la metteur en scène, décédée du cancer, la pièce “Kharif” avait décroché le Prix du meilleur texte et de meilleure scénographie à l’occasion du 18è festival national du théâtre, organisée à Tétouan en novembre 2016.
Les activités de célébration de Luxour capitale de la culture arabe seront clôturées, vendredi, par la remise à la ville d’Oujda, du témoin de capitale de la culture arabe en 2018.
“Kharif” est un hymne au corps qui glorifie la vie et nargue la mort. C’est une prolifération artistique qui traverse le corps pour propager à l’infini l’éclatement des sens et incite à repenser la vie pour mieux la célébrer.
A travers un langage corporel sublime, “Kharif” traite des thématiques de la vie et de la mort, avec une musique live, des danses chorégraphiques et des accessoires artistiques, le tout pour exprimer des sentiments humains authentiques.
“Kharif est un spectacle porteur de sentiments humains qui célèbrent un corps souffrant, certes, mais qui brave la mort qui le déchire en silence et fait face à toutes sortes de souffrance morale et physique”, a déclaré Asmaa Houri à la MAP.
Kharif est un cri et un appel humanitaire afin de consolider les valeurs de solidarité, d’espoir et d’amour de la vie, a-t-elle ajouté.
De son côté, le directeur de la troupe “Théâtre Anfas”, Rachid Baroumi, a indiqué que le texte de cette pièce résume en lui l’équation entre la vie et la mort à travers l’histoire d’une femme atteinte de cancer, qui souffre de la stigmatisation et de l’isolement.
Des acteurs aussi talentueux les uns que les autres ont interprété cette pièce à l’image de Farida Bouazaoui et Salima Moumni à côté de jeunes acteurs comme Hajar Graigaa, Fatima Zohra Lahouitar et Zineb Ennajem. Rachid Bromi et Oussama Bourouain ont été à la musique live.
La troupe Anfas avait remporté le prix Cheikh Sultane Ben Mohammed Al Kassimi de meilleure oeuvre théâtrale arabe en 2016, lors de la 9è édition du théâtre arabe tenue à Oran-Mostganem en Algérie, du 10 au 19 janvier dernier.
Ecrite par Fatima Houri, soeur de la metteur en scène, décédée du cancer, la pièce “Kharif” avait décroché le Prix du meilleur texte et de meilleure scénographie à l’occasion du 18è festival national du théâtre, organisée à Tétouan en novembre 2016.
Les activités de célébration de Luxour capitale de la culture arabe seront clôturées, vendredi, par la remise à la ville d’Oujda, du témoin de capitale de la culture arabe en 2018.
