Dans une déclaration transmise par le Quai d'Orsay, Ayrault a dénoncé la reprise des combats à Alep, qui, selon lui, "mettent à nouveau à l'épreuve la population de cette ville martyre", ainsi que les attaques du régime de Bachar al-Assad, qui a "manifestement fait le choix de l'escalade militaire".
Le chef de la diplomatie française a appelé à cet égard, les alliés d'al-Assad, la Russie et l'Iran, à "se ressaisir et à faire preuve de responsabilité en mettant un coup d'arrêt à cette stratégie qui conduit à l'impasse".
"Sinon la Russie et l'Iran seront complices des crimes de guerre commis à Alep", a-t-il mis en garde.
Le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU), qui s'est réuni dimanche en urgence à la demande de la France, des Etats-Unis et du Royaume-Uni, doit pour sa part, veiller à "ouvrir la perspective d'un arrêt des combats" à Alep, et à permettre l'accès de la population de cette ville à l'aide humanitaire, a estime le ministre français.
S'agissant de la trêve qui ne cesse de se fragiliser en Syrie, Ayrault a préconisé la mise en place d'un "mécanisme de suivi qui permettra de créer l'indispensable confiance grâce à la mobilisation de tous les États du groupe international de soutien à la Syrie qui sont prêts à y contribuer".
Et de prévenir encore: "Face à la gravité du drame en cours à Alep, il n'y a plus de temps à perdre pour sauver la population tant éprouvée par de nouvelles souffrances. Il s'agit pour tous les membres du Conseil de sécurité d'un moment de vérité".
Le chef de la diplomatie française a appelé à cet égard, les alliés d'al-Assad, la Russie et l'Iran, à "se ressaisir et à faire preuve de responsabilité en mettant un coup d'arrêt à cette stratégie qui conduit à l'impasse".
"Sinon la Russie et l'Iran seront complices des crimes de guerre commis à Alep", a-t-il mis en garde.
Le Conseil de sécurité des Nations unies (ONU), qui s'est réuni dimanche en urgence à la demande de la France, des Etats-Unis et du Royaume-Uni, doit pour sa part, veiller à "ouvrir la perspective d'un arrêt des combats" à Alep, et à permettre l'accès de la population de cette ville à l'aide humanitaire, a estime le ministre français.
S'agissant de la trêve qui ne cesse de se fragiliser en Syrie, Ayrault a préconisé la mise en place d'un "mécanisme de suivi qui permettra de créer l'indispensable confiance grâce à la mobilisation de tous les États du groupe international de soutien à la Syrie qui sont prêts à y contribuer".
Et de prévenir encore: "Face à la gravité du drame en cours à Alep, il n'y a plus de temps à perdre pour sauver la population tant éprouvée par de nouvelles souffrances. Il s'agit pour tous les membres du Conseil de sécurité d'un moment de vérité".