"L'Algérie suit avec une grande préoccupation la situation au Mali", a déclaré le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères Amar Belani. "De par notre position de principe et, conformément aux dispositions de l'acte constitutif de l'Union africaine, nous condamnons le recours à la force et rejetons fermement les changements anticonstitutionnels", a ajouté M. Belani, cité par l'agence APS.
"Nous estimons que toutes les questions internes au Mali doivent trouver leur règlement dans le cadre du fonctionnement normal des institutions légitimes de ce pays et dans le cadre du respect des règles constitutionnelles", a-t-il ajouté.
"L'Algérie proclame son ferme attachement au rétablissement de l'ordre constitutionnel dans ce pays voisin", a encore déclaré M. Belani, dont le pays a largement réchauffé ses relations avec cet Etat frontalier après une période de froid.
Ils collaborent étroitement dans le cadre du groupe des pays dits du champ -avec la Mauritanie et le Niger- contre la contrebande et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans la bande du Sahel.
Des militaires maliens ont pris jeudi le pouvoir à Bamako, dissous les institutions et décrété un couvre-feu pour, selon eux, en finir avec le manque de moyens dans la lutte contre la rébellion touareg et les groupes islamistes dans le nord du pays.
Le Mali est confronté depuis mi-janvier à des attaques du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et d'autres rebelles touareg, dont des hommes lourdement armés qui avaient combattu pour le régime de Mouammar Kadhafi, qui ont pris plusieurs villes du nord.
"Nous estimons que toutes les questions internes au Mali doivent trouver leur règlement dans le cadre du fonctionnement normal des institutions légitimes de ce pays et dans le cadre du respect des règles constitutionnelles", a-t-il ajouté.
"L'Algérie proclame son ferme attachement au rétablissement de l'ordre constitutionnel dans ce pays voisin", a encore déclaré M. Belani, dont le pays a largement réchauffé ses relations avec cet Etat frontalier après une période de froid.
Ils collaborent étroitement dans le cadre du groupe des pays dits du champ -avec la Mauritanie et le Niger- contre la contrebande et Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) dans la bande du Sahel.
Des militaires maliens ont pris jeudi le pouvoir à Bamako, dissous les institutions et décrété un couvre-feu pour, selon eux, en finir avec le manque de moyens dans la lutte contre la rébellion touareg et les groupes islamistes dans le nord du pays.
Le Mali est confronté depuis mi-janvier à des attaques du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et d'autres rebelles touareg, dont des hommes lourdement armés qui avaient combattu pour le régime de Mouammar Kadhafi, qui ont pris plusieurs villes du nord.