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Guterres était en tournée dans le centre du Mali, où il s’est rendu dans différents camps des Casques bleus déployés dans ce pays, à l’occasion du 70ème anniversaire de la création des forces onusiennes de maintien de la paix.
« J’aimerais bien pouvoir mieux les appuyer. J’étais en faveur d’un mandat plus fort », a affirmé le SG de l’ONU dans la cour du camp de la force du G5 Sahel, dont l’effectif visé s’élève à 5000 soldats pour lutter contre le terrorisme dans les cinq pays du Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad).
La déclaration a été reprise sur le site officiel de l’ONU.
« Notre solidarité avec le G5 Sahel est une solidarité sans réserve », a-t-il poursuivi, insistant sur l’importance de la paix pour la stabilité de la population et le développement du pays.
«Il n’y a pas de paix sans sécurité et il n’y a pas de développement sans paix», a expliqué le secrétaire général de l’ONU.
Guterres a également évoqué l’appui que pourrait apporter la mission onusienne au Mali à la froce G5 Sahel et a promis « de plaider auprès de la communauté internationale pour que le G5 Sahel puisse disposer des ressources financières, matérielles nécessaires à son efficacité », a ajouté la même source.
Dans une précédente communication, la mission onusienne au Mali (Minusma) a fait savoir que la visite du secrétaire général de l’ONU était en solidarité avec les forces onusiennes déployées dans ce pays et dont la vie est exposée au risques des attaques et de conflits armés.
Lors de son déplacement, Guterres a visité Mopti et Ségou (centre), qui constituent une source de préoccupation de l’ONU. Il a eu également une discussion avec l’Imam de la grande mosquée de Mopti en présence de la délégation onusienne et de quelques fidèles musulmans.
Dans ce même contexte, Guterres a fait savoir que chaque Ramadan, il rend visite à un pays musulman et observe le jeûne pour exprimer son hommage « à la communauté des musulmans partout dans le monde ».
Avant de quitter Bamako, Guterres a déclaré que « Cette visite m’a permis de sortir du Mali avec le cœur réchauffé».
De retour à Bamako dans l’après-midi, le Secrétaire général a participé à une réunion des protagonistes de l’accord de paix.
Lors d’une conférence de presse avant de quitter le Mali, M. Guterres s’est félicité que les signataires de l’accord aient parlé à cette réunion « d’une seule voix, la voix de Monsieur le Premier ministre ».
« Cette visite m’a permis de sortir du Mali avec le cœur réchauffé », a dit le Secrétaire général, ajoutant que, selon lui, il fallait « demander à la communauté internationale un appui bien plus fort ».
« J’aimerais bien pouvoir mieux les appuyer. J’étais en faveur d’un mandat plus fort », a affirmé le SG de l’ONU dans la cour du camp de la force du G5 Sahel, dont l’effectif visé s’élève à 5000 soldats pour lutter contre le terrorisme dans les cinq pays du Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger et Tchad).
La déclaration a été reprise sur le site officiel de l’ONU.
« Notre solidarité avec le G5 Sahel est une solidarité sans réserve », a-t-il poursuivi, insistant sur l’importance de la paix pour la stabilité de la population et le développement du pays.
«Il n’y a pas de paix sans sécurité et il n’y a pas de développement sans paix», a expliqué le secrétaire général de l’ONU.
Guterres a également évoqué l’appui que pourrait apporter la mission onusienne au Mali à la froce G5 Sahel et a promis « de plaider auprès de la communauté internationale pour que le G5 Sahel puisse disposer des ressources financières, matérielles nécessaires à son efficacité », a ajouté la même source.
Dans une précédente communication, la mission onusienne au Mali (Minusma) a fait savoir que la visite du secrétaire général de l’ONU était en solidarité avec les forces onusiennes déployées dans ce pays et dont la vie est exposée au risques des attaques et de conflits armés.
Lors de son déplacement, Guterres a visité Mopti et Ségou (centre), qui constituent une source de préoccupation de l’ONU. Il a eu également une discussion avec l’Imam de la grande mosquée de Mopti en présence de la délégation onusienne et de quelques fidèles musulmans.
Dans ce même contexte, Guterres a fait savoir que chaque Ramadan, il rend visite à un pays musulman et observe le jeûne pour exprimer son hommage « à la communauté des musulmans partout dans le monde ».
Avant de quitter Bamako, Guterres a déclaré que « Cette visite m’a permis de sortir du Mali avec le cœur réchauffé».
De retour à Bamako dans l’après-midi, le Secrétaire général a participé à une réunion des protagonistes de l’accord de paix.
Lors d’une conférence de presse avant de quitter le Mali, M. Guterres s’est félicité que les signataires de l’accord aient parlé à cette réunion « d’une seule voix, la voix de Monsieur le Premier ministre ».
« Cette visite m’a permis de sortir du Mali avec le cœur réchauffé », a dit le Secrétaire général, ajoutant que, selon lui, il fallait « demander à la communauté internationale un appui bien plus fort ».
