Il est suivi du chef de file de l’opposition Soumaïla Cissé qui, lui, a recueilli 573 mille 111 voix, soit 17,80%. L’homme d’affaires Aliou Diallo et l’ancien premier ministre Cheick Modibo Diarra occupent les troisième et quatrième places, avec respectivement 7,95% et 7,46% des suffrages.
Toujours selon le ministre de l’administration territoriale, le taux de participation est de 43,06%. Aucun des candidats n’ayant franchi la barre de 50%, la constitution malienne prévoit un second tour qui va opposer le président sortant et le chef de file de l’opposition. C’est la deuxième fois qu’Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé vont disputer le second de l’élection présidentielle. La première fois c’était en 2013.
Avec l’appui de plusieurs candidats malheureux du premier tour, IBK a été élu président avec 77,61% des suffrages contre 22,39% pour Soumaïla Cissé. Ce dernier avait reconnu sa défaite et félicité le vainqueur.
Cependant et au regard de l’ambiance qui a prévalu à l’occasion du scrutin du 29 juillet dernier, bien des analystes redoutent un second tour 2018 plus tendu que celui de 2013. Accusant le camp du président sortant d’user de méthodes «frauduleuses» pour remporter la victoire, 18 candidats, dont Soumaïla Cissé, avaient publié mercredi une déclaration dans laquelle ils ont menacé ne pas accepter des résultats
«affectés par des irrégularités».
Plus de 8 millions de Maliens, répartis sur quelques 23 mille bureaux de vote à travers le pays, étaient appelés aux urnes, dimanche, pour élire leur nouveau président pour un mandat de 5 ans. Le président sortant et 23 autres candidats, dont une femme, étaient engagés dans la course pour le fauteuil présidentiel.
Selon le ministère malien de l’administration territoriale le vote n’a pas eu lieu dans au moins 721 bureaux en raison de plusieurs incidents. Dans un communiqué, le ministère a précisé que le vote a été perturbé dans lesdits bureaux «par des attaques à main armée et autres violences».
Par la voix de sa chef Cécile Kyenge, la mission d’observation de l’Union européenne a insisté pour que le gouvernement malien publie les noms de tous les bureaux où le vote n’a pas pu se tenir.
«C’est une question de transparence, c’est fondamental pour la validité des résultats», a-t-elle expliqué.
Toujours selon le ministre de l’administration territoriale, le taux de participation est de 43,06%. Aucun des candidats n’ayant franchi la barre de 50%, la constitution malienne prévoit un second tour qui va opposer le président sortant et le chef de file de l’opposition. C’est la deuxième fois qu’Ibrahim Boubacar Keïta et Soumaïla Cissé vont disputer le second de l’élection présidentielle. La première fois c’était en 2013.
Avec l’appui de plusieurs candidats malheureux du premier tour, IBK a été élu président avec 77,61% des suffrages contre 22,39% pour Soumaïla Cissé. Ce dernier avait reconnu sa défaite et félicité le vainqueur.
Cependant et au regard de l’ambiance qui a prévalu à l’occasion du scrutin du 29 juillet dernier, bien des analystes redoutent un second tour 2018 plus tendu que celui de 2013. Accusant le camp du président sortant d’user de méthodes «frauduleuses» pour remporter la victoire, 18 candidats, dont Soumaïla Cissé, avaient publié mercredi une déclaration dans laquelle ils ont menacé ne pas accepter des résultats
«affectés par des irrégularités».
Plus de 8 millions de Maliens, répartis sur quelques 23 mille bureaux de vote à travers le pays, étaient appelés aux urnes, dimanche, pour élire leur nouveau président pour un mandat de 5 ans. Le président sortant et 23 autres candidats, dont une femme, étaient engagés dans la course pour le fauteuil présidentiel.
Selon le ministère malien de l’administration territoriale le vote n’a pas eu lieu dans au moins 721 bureaux en raison de plusieurs incidents. Dans un communiqué, le ministère a précisé que le vote a été perturbé dans lesdits bureaux «par des attaques à main armée et autres violences».
Par la voix de sa chef Cécile Kyenge, la mission d’observation de l’Union européenne a insisté pour que le gouvernement malien publie les noms de tous les bureaux où le vote n’a pas pu se tenir.
«C’est une question de transparence, c’est fondamental pour la validité des résultats», a-t-elle expliqué.