"Les forces maliennes et françaises sécurisent l'aéroport de Gao et le pont Wabary de Gao. Ces deux endroits stratégiques sont sous contrôle des forces malienne et française", a déclaré cette source à l'AFP.
L'aéroport se situe à environ 6 km à l'est de Gao. Le pont est lui placé à l'entrée sud de la ville.
Gao, l'une des principales villes du Nord du Mali, est un bastion des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao).
Ce groupe a annoncé samedi matin à l'AFP qu'il était prêt à "négocier la libération" de l'otage français qu'il détient depuis deux mois.
La source de sécurité n'a pas fait état de combats. D'autres sources ont indiqué que la plus grande partie des combattants islamistes avaient évacué la ville ces derniers jours, remontant vers l'extrême-nord-est du Mali pour échapper aux frappes aériennes françaises.
Les positions des islamistes à Gao ont été pilonnées par l'aviation française, notamment par des avions de combat Rafale, qui visaient "des camps d'entraînement, des infrastructures et des dépôts logistiques constituant les bases arrière des groupes terroristes", selon Paris.
L'aéroport se situe à environ 6 km à l'est de Gao. Le pont est lui placé à l'entrée sud de la ville.
Gao, l'une des principales villes du Nord du Mali, est un bastion des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao).
Ce groupe a annoncé samedi matin à l'AFP qu'il était prêt à "négocier la libération" de l'otage français qu'il détient depuis deux mois.
La source de sécurité n'a pas fait état de combats. D'autres sources ont indiqué que la plus grande partie des combattants islamistes avaient évacué la ville ces derniers jours, remontant vers l'extrême-nord-est du Mali pour échapper aux frappes aériennes françaises.
Les positions des islamistes à Gao ont été pilonnées par l'aviation française, notamment par des avions de combat Rafale, qui visaient "des camps d'entraînement, des infrastructures et des dépôts logistiques constituant les bases arrière des groupes terroristes", selon Paris.