Ces mandats visent Michael Taylor, ancien “béret vert” des forces spéciales américaines, ainsi que deux autres suspects, George-Antoine Zayek et Peter Taylor.
Carlos Ghosn, qui était assigné à résidence au Japon, s’est enfui en toute fin d’année au Liban. Le parquet a délivré jeudi un nouveau mandat d’arrêt contre lui portant spécifiquement sur sa fuite.
L’ancien patron de Renault et Nissan, en dépit de ses multiples interventions dans les médias, a gardé le silence sur les circonstances exactes de sa fuite pour “ne pas exposer”, a-t-il dit, les personnes qui l’ont aidé.
Ces nouveaux mandats d’arrêt ont été lancés quelques jours après une perquisition conduite par les procureurs dans les locaux de l’ancien avocat de Ghosn à Tokyo.
Arrêté en novembre 2018 au Japon pour des accusations de malversations financières, l’ancien patron de Nissan et de Renault a dénoncé lors d’une conférence de presse organisée à Beyrouth les accusations portées contre lui et les conditions dans lesquelles il avait été détenu puis assigné à résidence à Tokyo.
Aucun accord d’extradition ne lie le Japon et le Liban.
Une source judiciaire et l’entourage de Carlos Ghosn ont indiqué la semaine dernière à Reuters que Beyrouth et Tokyo disposaient de 40 jours pour décider si l’architecte de l’alliance Renault-Nissan devait faire l’objet d’une procédure formelle d’extradition vers le Japon ou être jugé au Liban.
Carlos Ghosn, qui était assigné à résidence au Japon, s’est enfui en toute fin d’année au Liban. Le parquet a délivré jeudi un nouveau mandat d’arrêt contre lui portant spécifiquement sur sa fuite.
L’ancien patron de Renault et Nissan, en dépit de ses multiples interventions dans les médias, a gardé le silence sur les circonstances exactes de sa fuite pour “ne pas exposer”, a-t-il dit, les personnes qui l’ont aidé.
Ces nouveaux mandats d’arrêt ont été lancés quelques jours après une perquisition conduite par les procureurs dans les locaux de l’ancien avocat de Ghosn à Tokyo.
Arrêté en novembre 2018 au Japon pour des accusations de malversations financières, l’ancien patron de Nissan et de Renault a dénoncé lors d’une conférence de presse organisée à Beyrouth les accusations portées contre lui et les conditions dans lesquelles il avait été détenu puis assigné à résidence à Tokyo.
Aucun accord d’extradition ne lie le Japon et le Liban.
Une source judiciaire et l’entourage de Carlos Ghosn ont indiqué la semaine dernière à Reuters que Beyrouth et Tokyo disposaient de 40 jours pour décider si l’architecte de l’alliance Renault-Nissan devait faire l’objet d’une procédure formelle d’extradition vers le Japon ou être jugé au Liban.