Mouammar Kadhafi,
"La France salue et appuie la décision du procureur de la Cour pénale internationale, (Luis) Moreno-Ocampo, de demander à la CPI la délivrance de trois mandats d'arrêt pour crime contre l'humanité à l'encontre de Mouammar Kadhafi, de son fils Saïf Al-Islam Kadhafi et d'Abdallah Al Senoussi, directeur des services de renseignement libyens", a déclaré son porte-parole, Bernard Valero.
"Dans quelques semaines, les juges se prononceront et les mandats seront émis. La France appelle les responsables du régime de Tripoli à en tirer toutes les conséquences", a-t-il ajouté dans un communiqué diffusé dans la nuit de lundi à mardi.
"Vous aurez noté le fait que peu de personnes soient incriminées, ce qui traduit avec justesse l'extrême concentration du pouvoir et des responsabilités pénales en Libye. Plus que jamais, il est clair que Mouammar
Kadhafi, tout comme les deux autres personnes visées, n'a aucune place dans les discussions politiques qui doivent s'engager pour construire l'avenir de la Libye".
"Cette décision, qui se fonde sur la résolution 1970 du Conseil de sécurité des Nations unies, s'inscrit dans le droit fil de la politique de lutte contre l'impunité en tous lieux que soutient fermement notre pays", a-t-il aussi indiqué.
Les juges de la CPI peuvent décider d'accepter la demande de Luis Moreno-Ocampo, de la rejeter ou de demander au bureau du procureur des informations supplémentaires.
Le Conseil de sécurité des Nations unies avait saisi le procureur de la CPI le 26 février, deux semaines après le début de la révolte populaire en Libye.
"Dans quelques semaines, les juges se prononceront et les mandats seront émis. La France appelle les responsables du régime de Tripoli à en tirer toutes les conséquences", a-t-il ajouté dans un communiqué diffusé dans la nuit de lundi à mardi.
"Vous aurez noté le fait que peu de personnes soient incriminées, ce qui traduit avec justesse l'extrême concentration du pouvoir et des responsabilités pénales en Libye. Plus que jamais, il est clair que Mouammar
Kadhafi, tout comme les deux autres personnes visées, n'a aucune place dans les discussions politiques qui doivent s'engager pour construire l'avenir de la Libye".
"Cette décision, qui se fonde sur la résolution 1970 du Conseil de sécurité des Nations unies, s'inscrit dans le droit fil de la politique de lutte contre l'impunité en tous lieux que soutient fermement notre pays", a-t-il aussi indiqué.
Les juges de la CPI peuvent décider d'accepter la demande de Luis Moreno-Ocampo, de la rejeter ou de demander au bureau du procureur des informations supplémentaires.
Le Conseil de sécurité des Nations unies avait saisi le procureur de la CPI le 26 février, deux semaines après le début de la révolte populaire en Libye.