Ils protestaient contre des propos attribués à tort par le service arabe de la radio israélienne à la ministre, mais tenus en sa présence jeudi par le père du soldat israélo-français enlevé Gilad Shalit, Noam Shalit. Ce dernier avait affirmé que "détenir un otage sans le laisser rencontrer des représentants de la Croix-Rouge, c'est un crime de guerre".
De source au sein de la délégation, on a confirmé que le convoi avait été brièvement ralenti, sans faire état de jets de projectiles.
Une trentaine de manifestants palestiniens brandissant des banderoles bloquaient le poste de sécurité du mouvement islamiste Hamas, qui contrô le la bande de Gaza.
"Il y a Gilad Shalit mais aussi 7.000 prisonniers palestiniens", pouvait-on lire sur l'une d'elles. Sur une vaste pancarte une photo de Mme Alliot-Marie était barrée d'un trait rouge avec l'inscription "get out of Gaza (Sors de Gaza".
Deux enfants, en pleurs et terrorisés, ont été allongés devant les roues des 4x4 des Nations unies transportant la délégation avant d'être récupérés par leur famille quelques minutes plus tard.
Par haut-parleur, un manifestant a imputé à Mme Alliot-Marie les propos de Noam Shalit, soulignant que Gilad Shalit était au moment de son enlèvement en juin 2006 un militaire israélien sous l'uniforme et pas un civil français.
Lors de sa rencontre avec Noam Shalit, Mme Alliot-Marie s'était engagée à intervenir auprès de l'Union européenne et "de faire passer le message pour que le prisonnier reçoive des visites de la Croix-Rouge".
De source au sein de la délégation, on a confirmé que le convoi avait été brièvement ralenti, sans faire état de jets de projectiles.
Une trentaine de manifestants palestiniens brandissant des banderoles bloquaient le poste de sécurité du mouvement islamiste Hamas, qui contrô le la bande de Gaza.
"Il y a Gilad Shalit mais aussi 7.000 prisonniers palestiniens", pouvait-on lire sur l'une d'elles. Sur une vaste pancarte une photo de Mme Alliot-Marie était barrée d'un trait rouge avec l'inscription "get out of Gaza (Sors de Gaza".
Deux enfants, en pleurs et terrorisés, ont été allongés devant les roues des 4x4 des Nations unies transportant la délégation avant d'être récupérés par leur famille quelques minutes plus tard.
Par haut-parleur, un manifestant a imputé à Mme Alliot-Marie les propos de Noam Shalit, soulignant que Gilad Shalit était au moment de son enlèvement en juin 2006 un militaire israélien sous l'uniforme et pas un civil français.
Lors de sa rencontre avec Noam Shalit, Mme Alliot-Marie s'était engagée à intervenir auprès de l'Union européenne et "de faire passer le message pour que le prisonnier reçoive des visites de la Croix-Rouge".