"Je sais que le match contre le Brésil (le 5 septembre) peut nous donner la qualification. Ensuite, nous irons au Paraguay avec pas mal de chances de l'emporter également", analyse l'ancien joueur vedette, confiant dans la qualification des siens.
Chez les Brésiliens, Maradona parle de Felipe Melo comme "une des dernières grandes révélations brésiliennes". Evoquant Ronaldinho, le technicien dit que "s'il a perdu du poids, il n'a pas retrouvé l'explosivité qu'on lui connaissait: J'aimais ses dribbles et la facilité qu'il avait pour éliminer les adversaires. J'espère qu'il retrouvera tout cela, après le match contre l'Argentine de préférence..."
"L'Argentine doit savoir profiter d'une chose: nous avons beaucoup plus de maîtrise que les autres, ajoute-t-il. Seul le Brésil peut rivaliser avec nous dans ce domaine, mais pas l'Italie, ni l'Allemagne. Dernièrement, l'Espagne a montré des qualités similaires. Mais c'est à peu près tout. Quand nous faisons le pressing, l'équipe adverse est étouffée."
"Je m'amusais beaucoup plus en tant que joueur, mais vous ne pouvez pas échapper à vos responsabilités", poursuit-il à propos de sa fonction de sélectionneur qu'il compare à "un travail de logistique."
Quant à sa vie hors football, Maradona confie "que la situation la plus folle a été lorsque (il s'est) retrouvé avec Fidel Castro, à lui expliquer comment tirer les penalties."
Chez les Brésiliens, Maradona parle de Felipe Melo comme "une des dernières grandes révélations brésiliennes". Evoquant Ronaldinho, le technicien dit que "s'il a perdu du poids, il n'a pas retrouvé l'explosivité qu'on lui connaissait: J'aimais ses dribbles et la facilité qu'il avait pour éliminer les adversaires. J'espère qu'il retrouvera tout cela, après le match contre l'Argentine de préférence..."
"L'Argentine doit savoir profiter d'une chose: nous avons beaucoup plus de maîtrise que les autres, ajoute-t-il. Seul le Brésil peut rivaliser avec nous dans ce domaine, mais pas l'Italie, ni l'Allemagne. Dernièrement, l'Espagne a montré des qualités similaires. Mais c'est à peu près tout. Quand nous faisons le pressing, l'équipe adverse est étouffée."
"Je m'amusais beaucoup plus en tant que joueur, mais vous ne pouvez pas échapper à vos responsabilités", poursuit-il à propos de sa fonction de sélectionneur qu'il compare à "un travail de logistique."
Quant à sa vie hors football, Maradona confie "que la situation la plus folle a été lorsque (il s'est) retrouvé avec Fidel Castro, à lui expliquer comment tirer les penalties."