Dans la salle ultra-sécurisée de la demeure présidentielle destinée aux situations d'urgence, M. Obama s'est entretenu dans l'après-midi avec ses secrétaires à la Défense, à la Sécurité intérieure, à l'Energie et à l'Intérieur, en présence notamment du chef d'état-major interarmées.
Pendant que le pétrole continuait, malgré les efforts de BP et des autorités, à se répandre au rythme de 800.000 litres par jour depuis le fond du golfe, conséquence du naufrage d'une plate-forme d'exploration pétrolière fin avril, M. Obama a souhaité qu'aucune solution potentielle ne soit laissée de cô té, selon la Maison Blanche.
"Tandis que nous continuons à évaluer les différentes options pour tarir la fuite de pétrole, le président a fait passer deux messages à son équipe: premièrement, sur l'importance de consulter des experts indépendants, scientifiques ou techniciens, et deuxièmement, que tous les points de vue s'expriment pour identifier des solutions", a précisé la présidence dans un communiqué.
Dans le même ordre d'idées, de même source, M. Obama a demandé au secrétaire à l'Energie Steven Chu, prix Nobel de physique, de se rendre à Houston (Texas, sud) pour s'entretenir avec les responsables de BP "pour chercher énergiquement de possibles solutions" à cette crise.
"Comme le président l'a déjà dit clairement, BP paiera tous les coûts pour mettre fin à cette pollution et à la nettoyer, et nous agirons énergiquement pour obtenir des réparations intégrales des dégâts", a ajouté la Maison Blanche.
Pendant que le pétrole continuait, malgré les efforts de BP et des autorités, à se répandre au rythme de 800.000 litres par jour depuis le fond du golfe, conséquence du naufrage d'une plate-forme d'exploration pétrolière fin avril, M. Obama a souhaité qu'aucune solution potentielle ne soit laissée de cô té, selon la Maison Blanche.
"Tandis que nous continuons à évaluer les différentes options pour tarir la fuite de pétrole, le président a fait passer deux messages à son équipe: premièrement, sur l'importance de consulter des experts indépendants, scientifiques ou techniciens, et deuxièmement, que tous les points de vue s'expriment pour identifier des solutions", a précisé la présidence dans un communiqué.
Dans le même ordre d'idées, de même source, M. Obama a demandé au secrétaire à l'Energie Steven Chu, prix Nobel de physique, de se rendre à Houston (Texas, sud) pour s'entretenir avec les responsables de BP "pour chercher énergiquement de possibles solutions" à cette crise.
"Comme le président l'a déjà dit clairement, BP paiera tous les coûts pour mettre fin à cette pollution et à la nettoyer, et nous agirons énergiquement pour obtenir des réparations intégrales des dégâts", a ajouté la Maison Blanche.