
Edmond Amran El Maleh
Natif de Safi (sud-ouest marocain) d'une famille juive marocaine, Edmond Amran El Maleh avait enseigné la philosophie et exercé le métier de journaliste à Paris. Il est décédé à l'hô pital militaire Mohammed V, selon la même source.
Un hommage sera rendu mardi à ce grand intellectuel et homme de gauche au cimetière juif de Rabat, avant d'être inhumé le même jour, selon ses voeux, à Essaouira (sud-ouest).
Connu pour ses prises de position en faveur de la "cause palestinienne", Edmond Amran El Maleh a écrit des articles universitaires ainsi qu'une série de romans.
Parmi ces derniers figurent "Parcours immobile" (1980), "Ailen ou la nuit du récit" (1983), "Mille ans, un jour" (1986), "Jean Genet, le Captif amoureux et autres essais" (1988), "une femme, une mère" (2004), ou encore "Lettres à moi même" qui était son dernier livre.
En 1996, il avait obtenu le Grand Prix du Maroc de littérature pour l'ensemble de ses oeuvres.
Un hommage sera rendu mardi à ce grand intellectuel et homme de gauche au cimetière juif de Rabat, avant d'être inhumé le même jour, selon ses voeux, à Essaouira (sud-ouest).
Connu pour ses prises de position en faveur de la "cause palestinienne", Edmond Amran El Maleh a écrit des articles universitaires ainsi qu'une série de romans.
Parmi ces derniers figurent "Parcours immobile" (1980), "Ailen ou la nuit du récit" (1983), "Mille ans, un jour" (1986), "Jean Genet, le Captif amoureux et autres essais" (1988), "une femme, une mère" (2004), ou encore "Lettres à moi même" qui était son dernier livre.
En 1996, il avait obtenu le Grand Prix du Maroc de littérature pour l'ensemble de ses oeuvres.